Retrouvez dans cette page l'ensemble des dossiers de presse de la Métropole Rouen Normandie.
Perrine Binet
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Louis Petit
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La Métropole Rouen Normandie et l’ADEME signent deux contrats pour le Fonds Air Bois et le Contrat de Chaleur Renouvelable
EnvironnementEn marge du Comité stratégique d’Énergies Métropole Rouen Normandie qui s’est réuni le 17 avril, la Métropole Rouen Normandie et l’ADEME ont procédé à deux signatures officialisant leur engagement sur le Fonds Air Bois (l’aide qui tombe « pile poêle »), et le Contrat Chaleur Renouvelable territorial. Ces deux dispositifs marquent l’engagement fort de la Métropole à accompagner le territoire vers des projets performants, respectueux de la santé et de l’environnement.
Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie, Luce Pane, Vice-Présidente en charge de l'Énergie, la sobriété énergétique et les déchets, Sylvaine Santo, Vice-Présidente en charge des petites communes et de la ruralité et Guillaume Lefrançois, Directeur Régional délégué de l’ADEME en Normandie, l’Agence de la transition écologique: « Ces deux dispositifs, proposés pour l’un aux particuliers et pour l’autre aux professionnels et collectivités, permettent de créer autant d’opportunités de concilier performance énergétique et respect du climat et de la santé. La Métropole et l’ADEME continuent leur travail conjoint pour les énergies de demain ! »
Crues : face à l’intensification, la Métropole appelle le Syndicat Mixte à acheter des pompes d’urgence et propose d’en financer 50%
RisquesQuelques jours après les violentes crues intervenues particulièrement à Bardouville et Mauny, Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normande, adresse un courrier à Julien Demazure, Président du Syndicat Mixte de Gestion de la Seine Normande. Face à l’intensification et à la fréquence de ces événements, Nicolas Mayer-Rossignol alerte sur la nécessité pour le Syndicat mixte d’anticiper et de mieux prévenir ces phénomènes climatiques. Il rappelle que le rôle du Syndicat est de coordonner les acteurs et les modalités de mise en œuvre sur le terrain, la Métropole, deuxième contributrice au Syndicat, est pleinement mobilisée à ses côtés. Concrètement et dès à présent, un achat de pompes performantes, mises à disposition des communes concernées est urgent, la Métropole se propose de les financer à hauteur de 50%.
En PJ : Courrier de Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie, à Julien Demazure, Président du Syndicat Mixte de Gestion de la Seine Normande
Conseil métropolitain du 15 avril 2024 « Préservation des paysages, mobilités d’avenir, solidarités : la Métropole Rouen Normandie, pionnière de la transition social-écologique »
La métropole et ses territoiresLa Métropole a adopté ce lundi 15 avril 2024 une série de mesures fortes pour l’attractivité du territoire et la transition social-écologique : soutien à l’organisation du grand départ de la Solitaire du Figaro à Rouen, adoption du Règlement local de publicité intercommunal (RLPi), investissements inédits pour l’expérimentation d’une voie de bus rechargeant directement les bus électriques par induction, subvention exceptionnelle de 700 000 euros pour l’Opéra, adoption du Contrat local des solidarités avec l’État et lutte massive contre les passoires thermiques de logements majoritairement sociaux, à hauteur d’1,5 million d’euros… Par ailleurs, la Métropole déploie 1,2 million d’euros pour accompagner financièrement des projets structurants portés par les communes d’Yville-sur-Seine, Canteleu, Darnétal, Mesnil-Esnard, Mont-Saint-Aignan, Saint-Aubin-Celloville, Le Trait, Saint-Martin-de-Boscherville, Grand-Couronne, Rouen et Sahurs…
Pour Nicolas MAYER-ROSSIGNOL, Président de la Métropole Rouen Normandie : « C’est une grande fierté : pour la première fois, nous accueillerons le grand départ de la mythique Solitaire du Figaro à la fin de l’été ! Un village sur les quais permettra de profiter des festivités et de rencontrer les régatiers, qui descendront ensuite la Seine pour rejoindre le Havre afin de prendre le large. Tout un symbole pour la Vallée de Seine Normande !
Nous adoptons ce lundi 15 avril notre Règlement local de publicité intercommunal (RLPi). L’objectif est clair : préserver nos paysages urbains et ruraux, lutter contre la pollution visuelle, tout en garantissant l’attractivité du territoire. Ce projet structurant est travaillé depuis 2019 avec les élus locaux, maires et conseillers métropolitains, habitants et acteurs concernés, pour répondre aux attentes exprimées.
Nous poursuivons par ailleurs nos engagements pour la transition social-écologique. Nous allons expérimenter avec des partenaires une voie de bus rechargeant directement les bus électriques par induction, afin de consolider notre avancée pour la décarbonation des mobilités. Nous déployons une subvention exceptionnelle de 700 00 euros pour l’Opéra de Rouen et adoptons notre Contrat local des solidarités avec l’État.
1,5 million d’euros sont engagés pour la rénovation thermique de près de 1000 logements, majoritairement sociaux, ainsi qu’1,2 million d’euros pour des projets structurants portés par les communes d’Yville-sur-Seine, Canteleu, Darnétal, Mesnil-Esnard, Mont-Saint-Aignan, Saint-Aubin-Celloville, Le Trait, Saint-Martin-de-Boscherville, Grand-Couronne, Rouen et Sahurs… Travaux de réaménagements de bâtiments municipaux (écoles, mairies, bibliothèques), caméras de vidéoprotection, installation de panneaux photovoltaïques… Nous faisons bloc auprès des maires, élus locaux et agents, en première ligne de notre quotidien. La Métropole maintient le cap de la solidarité !
On se bat, on ne lâche rien. »
La BEI finance à hauteur de 50 M€ la Métropole Rouen Normandie pour le renouvellement de sa flotte de bus
MobilitésLa Métropole Rouen Normandie a contracté auprès de la Banque Européenne d’Investissement un prêt de 50 M € pour ses transports en commun. Il vise à garantir aux usagers des services de mobilités plus performants, abordables et respectueux de l’environnement. Cette enveloppe de financement soutient plusieurs projets menés par la Métropole en faveur des mobilités durables : l’acquisition de 114 bus électriques et de 14 bus à hydrogène pour les services de transport public et la modernisation de 29 bus et 20 autocars par rétrofit électrique pour les services scolaires. Le projet comprend également la rénovation du Système d’Aide à l’exploitation et Information Voyageurs (SAEIV) ainsi que la billettique pour le réseau de bus.
Ce financement de la BEI s’inscrit dans le cadre du plan de mobilité de la Métropole Rouen Normandie. Le parc de la Métropole représente 450 bus. En 2020, le parc ne comptait pas de bus à hydrogène et seulement 5 bus électriques. Aujourd’hui, 14 d’entre eux fonctionnent à l’hydrogène et 77 sont électriques. L’objectif est d’atteindre en 2026 : 237 bus à très faibles émissions (bus électriques ou à hydrogène, n’émettant pas de rejet à la motorisation) soit plus de 50% du parc.
Ce projet contribue aux objectifs d’investissement de la BEI en développant une offre d’infrastructures de transport en commun décarbonés pour les usagers en alternative à l’utilisation de la voiture individuelle.
« Nous remercions la BEI pour son soutien clair et affirmé à la stratégie de transition énergétique engagée par notre Métropole, déclarent Nicolas Mayer-Rossignol, maire de Rouen et Président de Rouen Métropole Normandie et Cyrille Moreau, Vice-Président en charge des transports, des mobilités d’avenir et des modes actifs de déplacement. Nos investissements dans le développement de bus décarbonés sont massifs : 166M€ sur le mandat actuel afin de proposer aux habitants de nos 71 communes des transports en commun plus performants, accessibles et respectueux de l’environnement. »
« La BEI est aux côtés des collectivités territoriales afin d’accompagner leur transition écologique, s’est félicité Ambroise Fayolle, vice-président de la BEI. Ces investissements auront un impact direct et concret sur le quotidien des habitants et usagers de la métropole rouennaise. L’Europe démontre ainsi qu’elle peut, par son action, améliorer la qualité de vie et le bien-être de ses citoyens ».Un nouveau point de vue panoramique sur la Seine, en forêt domaniale du Trait-Maulévrier
EnvironnementAprès trois mois de travaux, les habitants de Duclair, du Trait et leurs voisins pourront admirer la vallée de la Seine depuis la nouvelle plateforme d’observation du paysage, au cœur de la forêt domaniale du Trait-Maulévrier.
Pour Nicolas Mayer-Rossignol, président de la Métropole Rouen Normandie, Hugo Langlois, élu délégué à la forêt et à la biodiversité de la Métropole Rouen Normandie, Victor Avenas, responsable du service accueil, environnement et développement du territoire de l’agence ONF de Rouen, Patrick Callais, maire du Trait et Jean Delalandre, maire de Duclair : « Les forêts représentent un tiers du territoire métropolitain et sont un véritable atout en matière de protection de la biodiversité et de qualité de vie. Valoriser ce patrimoine est au cœur de notre action et ce panorama, véritable geste architectural, invite à la promenade et à la contemplation. Nous saluons le travail collectif réalisé sur la base du projet des étudiants de l’ENSA ! ».
Itinéraire cyclable Canteleu / Saint-Léger-du-Bourg-Denis : création d’une piste cyclable montante côte de Canteleu
MobilitésDans le cadre de l’itinéraire n° 9 du Réseau Express Vélo d’un linéaire de 12 km reliant Canteleu à Saint Léger du Bourg Denis, des travaux vont débuter lundi 22 avril afin de créer une piste cyclable sur l’avenue Bernard Bicheray, rue Samuel Lecœur et la côte de Canteleu. Le chantier durera 5 mois.
Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie et Cyrille Moreau, Vice-Président en charge des transports, des mobilités d’avenir et des modes actifs de déplacement : « Nous poursuivons le déploiement de notre réseau cyclable sur l’ensemble du territoire. Pouvoir proposer une solution sécurisée aux cyclistes souhaitant remonter la Côte de Canteleu est une étape majeure dans le développement de l’itinéraire vélo reliant Canteleu à Rouen et Saint-Léger-du-Bourg-Denis. On avance, on ne lâche rien : d’ici la fin de l’année, nous aurons mis en service plus de 46 km de nouvelles pistes cyclables ! »
Numérique responsable : l’or pour la Métropole Rouen Normandie ! Label Territoire Innovant 2024
Économie et attractivitéLa Métropole Rouen Normandie a obtenu hier le Label Or Territoire Innovant 2024 pour sa démarche Numérique Responsable lors du Forum des Interconnectés au Palais du Pharo à Marseille. La coalition « Numérique responsable » créée dans le cadre de notre COP21 locale et le « parcours numérique responsable » proposé aux acteurs économiques du territoire permettent d’appréhender pleinement les enjeux liés à la transformation numérique de celles-ci. Cette récompense atteste du caractère novateur et d’utilité publique de cette solution.
Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie et Abdelkrim Marchani, Vice-Président en charge de l’économie, l’attractivité, le numérique, l’Europe et l’international : « La transition vers un numérique plus responsable est un élément essentiel de la transition sociale-écologique. Nous avons décidé, très vite, d’intégrer une coalition « Numérique responsable » dans notre COP21 locale et de mettre à disposition des entreprises des outils gratuits pour les accompagner au mieux dans ce changement de paradigme. La reconnaissance de notre « parcours numérique responsable » au national, prouve que cet outil numérique innovant est nécessaire et utile pour accompagner les entreprises aux transformations imposées par la crise écologique actuelle. Nous sommes fiers de cette récompense qui nous encourage à poursuivre et intensifier encore nos efforts ! »L’éco-quartier Flaubert avance ! La section nord du canal du parc Camille Claudel mise en eau
Travaux et aménagementDans le cadre de l’aménagement de l’éco-quartier Rouen Flaubert, la Métropole Rouen Normandie a engagé les travaux de réalisation du parc & canal Camille Claudel dès le mois de mars 2023. Ce projet prévoit la création d’un espace paysager de 7 ha conçu autour de 3 bassins en eau. Les travaux, sous maîtrise d’ouvrage Rouen Normandie Aménagement, s’achèveront en décembre 2024. Conçu par l’Atelier Jacqueline Osty et associés, ATTICA et EGIS, le canal est composé de trois bassins d’une contenance totale de 12 000 m3. La mise en eau du Bassin Nord qui sera initiée lors de l’événement, se déroulera sur environ 5 jours afin de permettre une décantation préalable de l’eau de Seine dans la noue.
Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie et Fatima El Khili, Conseillère Métropolitaine déléguée à l’urbanisme et au Quartier Flaubert : « Reconstruire la ville sur la ville, en accordant la priorité à l’environnement et la qualité de vie : voilà notre vision. Le nouveau quartier Flaubert est représentatif de nos engagements en la matière. Le parc canal Camille Claudel amènera la nature en ville en créant un lieu de balade, de cheminement et de loisirs en proximité directe des habitations et des entreprises. Un îlot de fraicheur, de verdure en bords de Seine ! »
Dans le cadre de l’exposition « Ca Chauffe », le Pavillon des Transitions accueille le conférencier Rob Hopkins
EnvironnementL’exposition « Ça Chauffe », construite en partenariat avec l’Université de Rouen Normandie sous la direction de Benoît Laignel, accueille les visiteurs au Pavillon des Transitions depuis le 13 janvier jusqu’au 30 novembre 2024. Une programmation complète est associée à cette exposition visant à transmettre les connaissances scientifiques autour de la réalité du changement climatique, ses conséquences sur notre territoire, ses enjeux et les moyens à mettre en œuvre pour l’atténuer et s’y adapter. Le jeudi 28 mars, Rob Hopkins, fondateur du mouvement Villes en Transition, donnait deux conférences en partenariat avec le magazine Sans Transitions : l’une destinée aux acteurs économiques du territoire, puis une ouverte au grand public.
Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie et Abdelkrim Marchani, Vice-Président en charge de l'économie, l'attractivité, l'enseignement supérieur et la recherche, la vie étudiante, le numérique - L'Europe et l’international : « Pour nous, la connaissance est la clef du changement. C’est pourquoi la venue de Rob Hopkins, éminent penseur de la transition environnementale, réputé à travers le monde, nous semblait essentielle dans la programmation de l’exposition « Ça Chauffe ». Qu’il s’agisse de s’adresser aux acteurs économiques ou au grand public, l’enjeu est le même : donner accès à tous à des connaissances, pointues parfois, pour disposer au quotidien de toutes les clefs de compréhension pour agir efficacement. Mieux s’impliquer face aux enjeux climatiques, cela commence par en saisir tous les contours. »
Earth Hour : le 23 mars à partir de 20h30, on éteint les lumières dans la Métropole Rouen Normandie
EnvironnementComme chaque année, la Métropole Rouen Normandie, ses communes, la Région Normandie et le Département de la Seine-Maritime participent à l’événement Earth Hour organisé par le WWF. Le concept : les particuliers, les collectivités et les entreprises dans plus de 190 pays à travers le monde se coordonnent pour éteindre les lumières et appareils électroniques pendant une heure, en mettant à profit ce temps dédié autour d’une action positive. Sur le territoire de la Métropole Rouen Normandie, de très nombreux bâtiments publics seront éteints le 23 mars à partir de 20h30 afin de participer à ce geste hautement symbolique pour la planète. Toutes les informations sur l’événement sont à retrouver sur : https://www.earthhour.org/
Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie, les Maires des 71 communes de la Métropole Rouen Normandie, Hervé Morin, Président de la Région Normandie et Bertrand Bellanger, Président du Département de la Seine-Maritime : « Cet événement symbolise le pouvoir du collectif pour l’action climatique. Existant depuis 17 ans désormais, Earth Hour est devenu un rendez-vous annuel incontournable alors que le dérèglement climatique est toujours plus présent et impacte d’ores et déjà nos modes de vie. C’est un petit geste pour la planète, mais un grand geste pour sensibiliser les habitants de la Métropole aux enjeux auxquels le monde fait face. »
De Rouen à Giverny en passant par Val-de-Reuil à pied : découvrez la Seine en slow tourisme !
Culture et tourismeDeux projets touristiques voient le jour en ce début d’année 2024, portés par la Métropole Rouen Normandie en partenariat avec l’Agglo Seine-Eure et Seine-Normandie Agglomération. Le gare-à-gare, une itinérance sur le GR2 qui relie Dijon au Havre le long de la Seine, permettra de rallier en quatre jours à pied la gare de Rouen à la gare de Vernon-Giverny, sur un itinéraire aménagé de 98,3km. En partenariat avec l’Agglo Seine-Eure, la Métropole Rouen Normandie a également développé une station trail constituée de 16 parcours. Ils sont également les points de départ de parcours sécurisés, permanents et gratuits de 8 à 45km.
Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie, Maire de Rouen, Bernard Leroy, Président de l’Agglo Seine-Eure, Maire du Vaudreuil et Frédéric Duché, Président de Seine Normandie Agglomération, Maire des Andelys : « Nous inventons ensemble le tourisme de demain ! Accessibles en train, ne nécessitant pas de voiture et connectés à la nature, ces itinéraires à vélo ou à pied permettent aux touristes et aux sportifs de découvrir les panoramas des boucles de la Seine. Tout au long du fleuve, les paysages qui ont inspiré les peintres impressionnistes s’offrent aux yeux de celles et ceux qui prennent le temps de savourer le tourisme façon « slow ». »
ZFE : pari gagné pour la Métropole ! Grâce à l’anticipation et aux efforts fournis, la qualité de l’air s’est améliorée et nous permet d’éviter l’interdiction des Crit’Air 3
MobilitésJusqu’en 2019-2020, la qualité de l’air dans la Métropole rouennaise était l’une des pires de France. De ce fait notre territoire s’est retrouvé dans l’obligation légale de mettre en place une ZFE-m, avec des résultats rapides sous peine de durcissement et d’obligation d’exclure les véhicules Crit’Air 5, 4 et 3 (soit près d’un véhicule sur trois) au 1er janvier 2025. Dès le début du mandat la Métropole a pris l’enjeu à bras le corps, engageant une politique extrêmement volontariste : calendrier anticipé de la ZFE-m, renforcement massif des transports en commun, instauration de la gratuité les samedis et les jours de pics de pollution, soutien sans précédent au covoiturage, développement exponentiel de l'usage du vélo, amélioration du transport à la demande dans les territoires les moins denses... Sans oublier un dispositif d'aide financière à la conversion des véhicules le plus ambitieux de France avec celui de Strasbourg (40M€ d’aides, plus de 7,5M€ déjà versés).
Tous ces efforts ont porté leurs fruits : la qualité de l’air s’est significativement améliorée depuis 2022 (-35% de la concentration en NO2). Ces résultats ont été officialisés aujourd’hui par le Ministère de la Transition Écologique : à l'issue du comité ministériel « qualité de l'air en ville », l’obligation d’exclure la circulation des véhicules Crit’Air 3 au 1er janvier 2025 est bien levée, comme l’avait demandé Nicolas Mayer-Rossignol par courrier au Ministre en début d’année.
Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie, Charlotte Goujon, Vice-présidente en charge de la transition écologique, santé, sécurité sanitaire et industrielle et Cyrille Moreau, Vice-Président en charge des transports, des mobilités d’avenir et des modes actifs de déplacement : « Le travail paie ! Jusqu’à récemment la qualité de l’air sur notre territoire était très mauvaise, générant plusieurs centaines de morts par an et nous obligeant, selon la loi sur les ZFE, à passer au Crit’Air 3 au 1er janvier 2025. Grâce à tous nos efforts, la qualité de l’air s’est améliorée et le Ministre a accepté notre demande de suspendre l’exclusion des Crit’Air 3. N’en déplaise aux critiques et à quelques élus hypocrites, heureusement que nous avons tenu bon ! Avec toutes les politiques publiques de mobilités que nous avons mises en place, nous contribuons à éviter des cancers, des affections respiratoires graves, et nous évitons aussi aux personnes qui n’en ont pas les moyens d’être obligées de racheter un nouveau véhicule. C’est positif pour la santé, pour l’environnement, pour le portefeuille. C’est la social-écologie que nous portons, celle d’une transition socialement plus juste. »