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Retrouvez dans cette page l'ensemble des dossiers de presse de la Métropole Rouen Normandie.

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  • L’activité du Panorama XXL sera arrêtée en 2021. La Métropole vient de lancer un appel d’offres pour assurer sa déconstruction et la valorisation des déchets générés.
    Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie : « Engagement tenu : le Panorama XXL va être retiré. L’expérience était intéressante, mais n’a pas été concluante. La structure va être démontée et l’emplacement réhabilité pour qu’il retrouve son état antérieur. »

    Ce musée unique en France, installé en 2014 sur les quais rive droite et qui bénéficiait d’un permis de construire temporaire, n’a pas fait l’unanimité auprès des habitants de la Métropole et Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie, a pris la décision de mettre fin à son activité et d’engager sa déconstruction, qui sera opérée d’ici la fin 2021.

    L’avenue Pasteur retrouvera ainsi sa perspective et l’objectif, à terme, est de mener une réflexion citoyenne sur l’installation de jardins potagers partagés sur les pelouses centrales de l’avenue. 

  • Suite aux mesures sanitaires nationales et compte tenu de la gravité de la situation, la Métropole Rouen Normandie se mobilise massivement. A l’initiative du Président Nicolas Mayer-Rossignol, un Conseil de défense économique local, rassemblant tous les Groupes politiques et toutes les forces vives de l’économie métropolitaine, a été créé. De nouveaux dispositifs à destination des PME les plus touchées, des associations, mais aussi des jeunes, ainsi qu’un kit d’aide au télétravail, sont mis en place au travers du plan PLUS (Plan Local d’Urgence Solidaire). Au total, 6 millions d’euros vont ainsi être mobilisés en soutien aux secteurs les plus impactés par le couvre-feu et les mesures de restrictions.

    Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie : « Dans la crise que provoque la deuxième vague COVID, nous devons faire bloc et défendre nos emplois. Unité, solidarité, efficacité, voilà notre stratégie. Nous apportons avec ce PLUS (Plan Local d’Urgence Solidaire) de nouvelles aides concrètes et utiles sur trois priorités : nos PME, nos associations, nos jeunes. »

    Voici les nouveaux dispositifs mis en place :
    •    Soutenir nos PME dans les secteurs les plus touchés > une aide au loyer sur la période du 1er octobre au 31 décembre 2020 à destination des entreprises des secteurs d’activité visés
    •    Soutenir nos associations > un fonds de soutien métropolitain aux communes de 800 000€ et un fonds spécifique solidarité de 200 000€
    •    Accélérer le télétravail dans les TPE/PME > un « kit de télétravail » à destination des TPE et PME de 3 à 99 salariés
    •    « 1000€ pour 1000 jeunes » > accompagner nos jeunes pour l’accès aux stages validant une formation
    •    L’union fait la force > mise en place d’un Conseil de défense économique local

  • La Métropole Rouen Normandie, suite aux annonces du Président, a décidé compte tenu de l’urgence et de la gravité de la situation, de mettre en place un Conseil de défense économique local : une « task force » réunissant les représentants des acteurs économiques (industrie, commerce, artisanat, tourisme, hôtellerie, événementiel, culture, sport, agriculture...), les représentants de tous les groupes politiques métropolitains sans exclusive, ainsi que les représentants des collectivités locales (Région, Département), les parlementaires et l’Etat. Une première réunion est prévue ce vendredi à 16h30 et se tiendra de façon hebdomadaire.

    Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie : « À situation exceptionnelle, moyens exceptionnels. C’est pourquoi j’ai annoncé aujourd’hui la création d’un Conseil de défense économique local réunissant les représentants des acteurs économiques, de tous les groupes politiques métropolitains ainsi que les représentants des collectivités locales, les parlementaires et l’État. Ce Conseil de défense économique se réunira en visioconférence dès vendredi et de façon hebdomadaire, pour faire le point sur la situation sanitaire, économique et sociale et pour partager, co-construire, de façon agile et pragmatique, les mesures les plus utiles à notre activité économique locale et à nos emplois ».

     

  • La Métropole Rouen Normandie lance une grande concertation autour du quartier Flaubert. Durant les 6 prochains mois, la population est invitée à réfléchir sur les évolutions d'un projet majeur qui matérialisera la ville de demain. Plusieurs temps d'échanges et plusieurs outils seront proposés pour permettre à chacun de donner son avis et proposer des idées. Le lancement officiel de cette grande réflexion commune se fera jeudi 15 octobre en fin de journée, par une visite du quartier depuis les hauteurs suivie d’une réunion publique au 108, siège de la Métropole.

  • 16 équipements des communes de Canteleu, Grand-Quevilly, Maromme, Petit-Couronne, Petit-Quevilly, Rouen, Sotteville-lès-Rouen et le Kindarena, équipement métropolitain, viennent d’être homologués pour pouvoir accueillir les délégations sportives pour la préparation des Jeux olympiques et paralympiques 2024.

    Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie et David Lamiray, Vice-Président en charge des sports : « La Métropole Rouen Normandie, terre de sports, est fière de pouvoir faire rayonner les valeurs du sport en accueillant sur son territoire les équipes de cet événement sportif majeur. Le Kindarena a reçu une décision favorable pour accueillir les entrainements de basketball et de handball. Par ailleurs, de nombreuses communes du territoire métropolitain ont également été désignées « Terre de Jeux 2024 », pour leurs équipements. Engageons-nous collectivement dans l’aventure olympique ! ».

     

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    Dans l’attente de décisions nationales qui devraient intervenir rapidement, Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie, Maire de Rouen et Christian Boulocher, Président de l’Union Portuaire Rouennaise, co-signent un courrier adressé au Premier Ministre pour fixer les conditions de la fusion des établissements portuaires de Rouen, du Havre et de Paris.

    Pour Nicolas Mayer-Rossignol et Christian Boulocher, cette fusion est « bienvenue pour la vallée de Seine, à condition qu’elle respecte certains principes », dont voici les principales lignes directrices :

    •    • La concertation qui fait défaut à ce stade. Hormis un « un court document de cadrage, qui fixe quelques enjeux certes majeurs », rien n’a été transmis à ce jour sur la future gouvernance, les emplois et leur répartition, la fiscalité attractive et concurrentielle ou encore la place des différentes parties concernées, en particulier les collectivités locales et les acteurs économiques.
    •    • La cohérence. Rouen, Capitale de la Normandie et au coeur de la Vallée de Seine, accueille depuis plusieurs années déjà le siège d’HAROPA, Groupement d’Intérêt Economique réunissant les trois ports. Il semble donc logique et cohérent, pour les deux Présidents, que « Rouen accueille le siège du nouvel Établissement public résultant de la fusion ». Rouen est caractérisé par la rencontre du maritime et du fluvial, ce serait ainsi aussi la reconnaissance du fleuve comme stratégie de l’axe Seine. Si tel n’était pas le cas, « la présidence de l’établissement devrait revenir à une personnalité rouennaise ».
    •    • L’équilibre territorial. Ce nouvel Établissement public doit être respectueux de l’équilibre souhaité entre les trois pôles et adaptée à la présence des services déconcentrés de l’État en Normandie. Il est ainsi proposé que « Rouen accueille la direction générale, les finances, les fonctions commerciales ainsi que les services en charge du développement durable et de l’environnement ». L’emploi au sein de la Métropole Rouen Normandie doit être défendu et conforté c’est pourquoi « tout projet de fusion n’est acceptable qu’à la condition sine qua non que le nombre et la qualité des emplois sur le territoire rouennais à la suite de la fusion soient au moins équivalents à ceux de la situation actuelle ». L’équilibre doit également pouvoir se lire dans une gouvernance partagée, associant pleinement les territoires et les entreprises clientes des ports.
    •    • La flexibilité. La nouvelle entité devra offrir une certaine marge de flexibilité locale : des niveaux de délégations importants doivent être confiés aux 3 ports.
    •    • L’ambition. Les objectifs du projet de fusion doivent être revus à la hausse. Le projet devra être assorti d’un plan d’investissements massif, notamment en termes d’infrastructures, équilibré sur les trois ports. Les ambitions de report modal, de la route vers le fleuve et le train, doivent être beaucoup plus fortes à l’image des ports du Range Nord.

    Retrouvez le communiqué de presse et le courrier en pièces jointes.

  • Face à la crise sanitaire, la Métropole Rouen Normandie est aux côtés des communes, des habitants et des entreprises du territoire. Le Conseil métropolitain qui se tient ce soir poursuit la mobilisation et dessine les contours d’une métropole sociale-écologique qui accompagne les chômeurs et l’accueil des migrants tout en dépolluant ses friches industrielles afin d’accueillir des projets vertueux.

  • Améliorer l’information et la communication autour des notions de risques industriels : c’est tout l’enjeu du challenge grand public « Gestion des risques industriels » que la Métropole et France Chimie Normandie viennent de lancer. L’objectif : faire appel à l’intelligence collective pour faire émerger des solutions innovantes et répondre ainsi à cet enjeu majeur pour le territoire métropolitain.   

    Pour Nicolas Mayer Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie, Abdelkrim Marchani, Vice-Président en charge de l’Économie et du Numérique et Charlotte Goujon, Vice-Présidente en charge de la Santé et de la Sécurité sanitaire et industrielle, « La semaine de débats  "Rouen Métropole, Capitale du monde d'Après" a montré que la coconstruction citoyenne, l'intelligence collective sont indispensables pour améliorer la maîtrise des risques, la transparence et le développement durable de notre territoire. Nous voulons traduire, rapidement, ces débats en actes concrets et utiles. C'est pourquoi nous lançons ce challenge citoyen, autour de la gestion et de la culture du risque.».

    Pour Régis Saadi, Président de France Chimie Normandie, « la maitrise des risques est au cœur des préoccupations des industriels et notamment des entreprises classées SEVESO. Ces industries constituent une part importante du bassin économique et d’emplois de la Métropole. Le besoin de transparence, l’amélioration de l’information et de la communication autour des notions de risques qui y sont rattachés sont des enjeux majeurs pour permettre à ces entreprises de s’intégrer à leur environnement et de rassurer les populations ».

    C’est ce qui a motivé la création du challenge « Gestion des risques industriels » auquel le grand public peut contribuer en apportant des solutions pour répondre à une problématique d’intérêt général.  Ce challenge, soutenu par France Chimie Normandie en mobilisant le réseau des industriels implantés sur le territoire, se déroulera d’octobre 2020 à avril 2021 et se clôturera par l’organisation d’un hackathon. La FING, Normandie Incubation et l’association NWX soutiennent la mise en œuvre de ce challenge.

    Jusqu’au 16 octobre minuit, les candidats (étudiants, habitants du territoire, etc.) sont invités à s’inscrire au challenge en remplissant le formulaire disponible sur le site de la Métropole (https://www.metropole-rouen-normandie.fr/challenge-risques-industriels). Fin octobre, après analyse des candidatures, 6 équipes seront composées (maximum 6 personnes par équipe) pour travailler à la création de solutions concrètes autour de 3 problématiques :
    •    La formation des populations à la culture du risque industriel
    •    L’information des populations en cas d’évènement perceptible  
    •    L’alerte des populations en cas d’accident.  

     

  • La Métropole Rouen Normandie, Transdev Rouen et l’Union Portuaire Rouennaise, avec le soutien du Grand port maritime de Rouen et d’Engie, expérimentent depuis l’été 2019 une navette fluviale à énergie électro-solaire permettant d’offrir un nouveau franchissement doux du fleuve entre le pont Flaubert et le pont Guillaume Le Conquérant. Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie, a souhaité que cette navette soit également expérimentée, les soirs de matchs de Hockey, pour transporter les supporters entre le quai du Pré aux Loups et l’Île Lacroix dès le premier match de la saison demain soir. La mise en place de cette solution permettra d’offrir une nouvelle alternative aux problèmes d’accès et de stationnement les soirs de match.     

    Les Dragons de Rouen débuteront leur saison vendredi 2 octobre à 20h face à Amiens. À cette occasion, une nouvelle solution de mobilité douce sera proposée aux supporters. L’installation récente d’un embarcadère sur l’Île Lacroix, à proximité immédiate de la patinoire, va permettre à la navette fluviale, utilisée aux abords du 108, de faire des aller-retours de 18h30 à 23h entre le Quai du Pré aux Loups et la patinoire. Les supporters sont ainsi invités à se garer sur le quai Rive droite et à emprunter gratuitement la navette, d’une capacité de 50 passagers (masque obligatoire comme dans l’ensemble des transports en commun du territoire métropolitain).

    Cette expérimentation sera proposée pour les 11 prochains matchs, soit jusqu’à la fin de l’année 2020. Un retour d’expérience et un bilan seront réalisés à l’issue de ces 3 mois d’essai.  

     

  • La situation sanitaire dans notre agglomération rouennaise s’est nettement dégradée ces dernières semaines. Les conséquences économiques et sociales de la crise, y compris des mesures de restriction imposées au plan national, se font particulièrement sentir dans certains secteurs (bars/restauration, hôtellerie, événementiel, culture, secteur associatif). C’est pourquoi, après concertation avec l’ensemble des Présidents des Groupes politiques, la Métropole va se mobiliser vite et fort pour soutenir les PME des secteurs les plus touchés, les associations, et encourager le télétravail.

    « Nos commerces, nos cafés, bars, PME de l’hôtellerie, restauration, nos associations aussi, sont durement impactées par la crise sanitaire et par les mesures de restriction. Un reconfinement serait un cauchemar absolu. Il est urgent d’agir. La Métropole Rouen Normandie s’est beaucoup mobilisée ces derniers mois pour soutenir ses acteurs économiques. Nous allons amplifier encore notre soutien. Un plan d’urgence, ciblé sur les secteurs les plus touchés et complémentaire des dispositifs d’ores et déjà en place, est à l’étude et va être proposé très prochainement. » ont déclaré Nicolas MAYER-ROSSIGNOL, Président de la Métropole Rouen Normandie, et Abdelkrim MARCHANI, Vice-président de la Métropole en charge notamment de l’Economie.

  • Équipement sportif de renom, accueillant plus de 250 000 spectateurs par an et fréquenté par 1 300 licenciés, la patinoire de Rouen situé dans le Centre Guy Boissière sur l’île Lacroix nécessitait des travaux de rénovation et d’extension. Ces travaux, gérés depuis mai 2018 par la Métropole Rouen Normandie et débutés en février 2019, viennent de prendre fin. Au-delà de la remise aux normes du site (accessibilité, incendie et technique), les travaux et les aménagements ont permis d’augmenter la jauge de spectateurs de 332 places pour permettre d’accueillir aujourd’hui 3078 spectateurs. La patinoire olympique rouvrira ses portes aux spectateurs pour le 1er match de ligue Magnus samedi 26 septembre.

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    Pour faire face au phénomène de consommation détournée du protoxyde d’azote, qui constitue des atteintes à la santé et à la salubrité publique, 39 communes du territoire métropolitain ont décidé d’agir conjointement en prenant des mesures de protection, notamment pour les plus jeunes. En complément des arrêtés pris par celles-ci, un courrier a été adressé au Conseil Départemental de la Seine-Maritime pour solliciter une coordination réunissant l’Éducation Nationale, l’Agence Régionale de Santé et les associations autour de cette problématique.

    Pour Nicolas MAYER-ROSSIGNOL, Président de la Métropole Rouen Normandie : « L’usage détourné grandissant du protoxyde d’azote, ou gaz hilarant, est inquiétant. Nous sommes près de 40 maires de la Métropole Rouen Normandie à cosigner un courrier au Département de la Seine-Maritime, pour proposer d’impulser une coordination réunissant l’Education Nationale, l’Agence Régionale de Santé et les associations opérant déjà auprès du public jeune consommateur. J’ai également proposé aux maires des communes de la Métropole de prendre des arrêtés pour en interdire la vente aux mineurs et la consommation sur la voie publique. À ce jour, près d’une quarantaine de communes ont déjà pris ou vont prendre des arrêtés. Pour lutter contre ce phénomène, une réponse collective est nécessaire. »

     

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