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Lovélo, c’est le nouveau service de location longue durée de vélos sur la Métropole Rouen Normandie. Depuis le 4 septembre dernier, le service propose des vélos à assistance électrique à la location, pour une durée comprise entre un et douze mois. Après moins de deux mois d’activité, 440 vélos sont déjà loués et en circulation sur le territoire de la Métropole Rouen Normandie. Face au succès de la formule, Lovélo diversifie son offre en proposant dès à présent cinquante vélos pliants de la marque Brompton, expert reconnu pour la qualité de ses vélos pliants.

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie et Cyrille Moreau, Vice-Président de la Métropole Rouen Normandie en charge des transports, des mobilités d’avenir et des modes actifs de déplacement : « Lovelo est un succès, nous n’en doutions pas ! Les vélos électriques couleur framboisine se multiplient sur le territoire, les retours sont très positifs, la tarification solidaire fonctionne bien. Nous poursuivons donc son développement toujours dans l’objectif d’accélérer la transition de notre territoire vers des mobilités décarbonnées.  Avec l’intégration de vélos pliants qualitatifs à notre offre, c’est une mobilité encore plus modulable qui s’ouvre aux habitants du territoire : il peut ainsi allier vélo et bus, ou vélo et train par exemple et stocker le vélo chez lui ou dans son coffre ! Une solution pratique à tarif toujours abordable et solidaire ! ».

 Ce mardi, à l’Hôtel de Ville de Paris, Anne Hidalgo, Maire de Paris, Édouard Philippe, Président du Havre Seine Métropole, Maire du Havre, Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie, Maire de Rouen, et Patrick Ollier, Président de la Métropole du Grand Paris, Maire de Rueil-Malmaison ont franchi une nouvelle étape décisive pour agir en commun pour le développement des énergies renouvelables et de récupération (EnR&R) à un niveau sans équivalent en France aujourd’hui. L’ambition : devenir la première vallée de la décarbonation en France.

Hier en début de matinée, une pollution a été signalée dans le Robec, affluent de la Seine sous la forme d’une irisation de couleur blanche. Après constatations, la source de pollution a été identifiée : il s'agit d'un déversement de peinture à l'eau utilisée pour le marquage routier, dans le réseau pluvial d'une station de lavage d'une entreprise de Darnétal implantée à proximité du Robec. La Métropole condamne fermement tout comportement polluant d’un industriel du territoire et va donc porter plainte contre l’entreprise dans le cadre de cet événement.

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie et Charlotte Goujon, Vice-présidente en charge des risques industriels et de la santé : « Nous l’avons dit clairement : nous serons intraitables sur la pollution des cours d’eau sur le territoire. Nous ne laisserons rien passer. La pollution du Robec, hier, n’est pas anodine. Polluer une rivière n’est jamais anodin. Il faut que les industriels du territoire prennent leur responsabilité afin d’éviter ce genre d’incident inacceptable. La Métropole Rouen Normandie va donc déposer une plainte environnementale. En matière de pollution accidentelle : tolérance zéro ! »

La Métropole Rouen Normandie lance aujourd’hui un dialogue citoyen sur le projet de nouvelle ligne T5. Cette démarche participative à vocation à organiser un espace de dialogue permettant d’associer les citoyen·nes à l’élaboration d’un projet de transport en commun structurant pour le territoire. Elle permettra également à la Métropole, aménageur du projet, d'améliorer et d’actualiser ses connaissances sur les usages autour du tracé de la nouvelle ligne T5 et sur les transports en service qui interagiront avec cette nouvelle ligne.

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie, Cyrille Moreau, Vice-Président en charge des transports, des mobilités d’avenir et des modes actifs de déplacement et Sylvie Nicq-Croizat, Vice-Présidente en charge de la démocratie participative et de la coconstruction citoyenne : « Nous sommes très heureux d’annoncer le lancement de la concertation de la nouvelle ligne T5, structurante pour le territoire et qui participera à élargir encore notre offre pour offrir l’accès à tous à un service de transports en commun performant et ainsi répondre aux enjeux de transition social-économique et d’attractivité du territoire.  Recueillir les retours d’expériences des riverains, des usagers des lignes de transports en commun (L34, T1, …), des personnes qui circulent au sein de ces secteurs (en voiture, à vélo, à pied, en trottinette, …), des entreprises et des associations permettra d’identifier les consensus et divergences entre acteurs, d’enrichir le projet et de le faire évoluer pour qu’il réponde au mieux aux besoins et attentes de celles et eux qui en bénéficieront au quotidien. »

L’accompagnement du territoire dans sa transition écologique figure au cœur des priorités de la Métropole Rouen Normandie. Un domaine dans lequel s’engage également NEOMA Business School, qui s’attache à sensibiliser et à former les nouvelles générations à ces sujets cruciaux. C’est dans ce contexte que les deux institutions co-organisent jeudi 21 octobre un Hackathon national dédié à l’entrepreneuriat dans le domaine de la transition écologique.

Pour Nicolas MAYER-ROSSIGNOL, Président de la Métropole Rouen Normandie, Abdelkrim Marchani, Vice-Président en charge de l’économie, l’attractivité, le numérique, l’Europe et l’international et Adrien Naizet, Conseiller municipal délégué à la jeunesse, la vie étudiante, l’enseignement supérieur, au logement social étudiant : « La Métropole Rouen Normandie et NEOMA Business School co-organisent, le 21 octobre prochain, le Hackathon national « We Change » dédié à la création d’entreprises en faveur de la transition écologique.  Se tenant en simultané sur le campus de Rouen de NEOMA et sur son campus virtuel, cette initiative nationale nourrit un double objectif : sensibiliser les étudiants et plus globalement le grand public à l’entrepreneuriat en faveur de l’écologie et identifier de nouveaux projets porteurs dans le domaine en vue d’une éventuelle incubation. Cet évènement contribue à la dynamique portée par la Métropole de Rouen en faveur de la mobilisation de toutes les parties prenantes pour répondre efficacement aux défis du changement climatique ».

Le Conseil de Surveillance d’UPM France SAS se tenait ce matin, vendredi 15 octobre 2021. Le Conseil a voté la cession au groupement Samfi/Paprec du site Chapelle Darblay à Grand-Couronne. Le projet du groupement comprend une activité de tri de déchets, sans recyclage, et la mise en place d’ici trois à cinq ans d’une unité de production d'hydrogène. Les compétences et la valeur ajoutée de Chapelle en matière de recyclage papier/carton, uniques en France par leur nature et leur ampleur industrielle, seraient alors perdus.

Nous sommes mobilisés depuis de nombreux mois pour sauver le site, les emplois, les savoir-faire de Chapelle Darblay. Avec une coalition de plus de 80 maires et parlementaires, de toute la France et de tous horizons politiques (Edouard Philippe, Anne Hidalgo…), nous lancions en mars un appel au Président de la République pour que l’État agisse en ce sens. Nos objectifs stratégiques sont clairs : développement de l’économie circulaire, investissements pour favoriser des activités de recyclage papier/carton, préservation de l’emploi et des compétences dans ces domaines.

Une offre alternative, portée par des industriels sérieux et crédibles, impliquant des investissements positifs et d’importantes créations d’emplois, a été écartée par UPM. Elle permettrait pourtant de répondre à ces objectifs stratégiques. Stratégiques pour la métropole rouennaise ; stratégiques pour la France et l’Europe.

Rappelons-le : Chapelle Darblay, c’est 250 emplois directs et au moins 800 emplois indirects avant fermeture. L’usine dispose d’une puissance de recyclage de 480 000 t/an, soit le résultat du tri de 24 millions d’habitants –un tiers de la France. Elle rayonne dans un périmètre de 400 km et concerne notamment l’agglomération parisienne, Orléans, Dreux, Chartres, Le Mans, Nantes, Amiens, Rouen, Rennes, Caen, Cherbourg-en-Cotentin, Firminy, Béthune, Ardenne, Aisne, Dijon et bien d’autres villes. Chapelle Darblay est un acteur écologique de référence : sa chaudière biomasse représente 30% de la consommation régionale normande. L’usine possède une station d’épuration pouvant subvenir aux besoins de 400 000 personnes. 50 à 100 000 tonnes de papiers/cartons peuvent être transportées par voie fluviale.

Pour Nicolas MAYER-ROSSIGNOL, Maire de Rouen et Président de la Métropole Rouen Normandie : « Il ne s’agit donc pas d’un enjeu local, mais national. Va-t-on se résigner à abandonner le recyclage papier/carton en France ? A exporter le papier/carton vers d’autres pays à des centaines de kilomètres, à l’enfouir ou le brûler, au mépris du coût carbone ? Alors que la France vient d’être condamnée pour ses manquements en matière de lutte contre le réchauffement climatique, veut-on, oui ou non, développer enfin l’économie circulaire et restaurer notre souveraineté industrielle nationale ?

Ce gâchis serait dramatique. C’est pourquoi nous prenons nos responsabilités. La Métropole Rouen Normandie se met donc en ordre de bataille pour user de son droit de préemption, comme le permet la législation française. »

Vendredi 15 octobre 2021 se tiendra le Conseil de Surveillance d’UPM France SAS. La vente du site Chapelle Darblay à Grand-Couronne sera décidée à cette occasion. Deux offres fermes de reprise industrielle ont été déposées.

La Métropole Rouen Normandie tient à remercier UPM France SAS pour les échanges constructifs qui ont eu lieu depuis près de deux ans. Notre position est constante : aux côtés notamment des représentants des salariés, en liaison avec l’Etat et les autres collectivités locales concernées, la Métropole Rouen Normandie se bat pour donner un avenir durable au site Chapelle Darblay. Nos objectifs stratégiques sont clairs : développement de l’économie circulaire, investissements pour favoriser à Grand-Couronne des activités de recyclage papier/carton, préservation de l’emploi et des compétences dans ces domaines.

Le choix de vente d’un site privé revient naturellement à son propriétaire. Néanmoins la Métropole Rouen Normandie tient à rappeler que, conformément à la législation française, elle dispose d’un droit de préemption. Elle n’hésitera pas à en faire usage pour atteindre les objectifs stratégiques ci-dessus.

À l’occasion de la Journée Nationale de la Qualité de l’air qui se tiendra jeudi, la Métropole souhaite rappeler les actions mises en place et en cours pour améliorer la qualité de l’air sur notre territoire en visant une réduction des émissions de polluants atmosphériques.

Pour Nicolas MAYER-ROSSIGNOL, Président de la Métropole Rouen Normandie et Marie Atinault, Vice-Président en charge des transitions et innovations écologiques : « La Métropole, en partenariat avec Atmo Normandie, s’engage fortement pour contribuer à l’amélioration de la qualité de l’air sur son territoire. En vue de guider les politiques publiques et de développer des démarches de sciences participatives, des actions fortes sont ainsi mises en place : création d’un réseau de « nez » citoyens, expérimentation d’un atelier d’assemblage de micro-capteurs, déploiement d’un réseau de micro-capteurs, expérimentation de capteurs à pollens, soutien au développement d’Incub’air… Le tout en s’appuyant sur des études et rapports détaillés et qualitatifs produits localement via notre GIEC notamment. L’objectif est clair : réduire les émissions pour offrir à chaque habitant un air plus respirable au quotidien. »

À l’occasion de la première édition des « 4 Saisons du Parc », consacrée à l’agriculture urbaine et à l’alimentation au Parc naturel urbain du Champ des Bruyères, les équipements pédagogiques du parc ont été inaugurés et les 33 lauréats de l’appel à projets « Métropole nourricière » ont été dévoilés.

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie et Marie Atinault, Vice-Présidente de la Métropole en charge des transitions et innovations écologiques et Yves Soret, conseiller métropolitain délégué à l’alimentation durable : « Encourager une agriculture locale, biologique et de qualité, sensibiliser le plus grand nombre à l’environnement et au jardinage durable, utiliser l’alimentation et la biodiversité comme support d’éducation au respect de la nature et du vivre ensemble : ce sont les objectifs que nous poursuivons et qui, aujourd’hui, au Champ des bruyères, prennent tout leur sens. Mettre à disposition des équipements de qualité, ouverts au public, dans un parc naturel urbain au cœur de l’agglomération, c’est du concret. Soutenir financièrement et matériellement 33 acteurs du territoire, tous portant un projet à vocation nourricière, là encore, c’est du concret.  Le monde change, changeons avec lui, adaptons-nous, revenons à la terre et à ses richesses ».

La Métropole Rouen Normandie fait le choix de l’ambition numérique et lance une nouvelle application, en partenariat avec Orange :  Rouen Métropole dans ma poche. Elle permet de centraliser des services qui sont actuellement disponibles sur différents supports : sites institutionnels (site internet de la Métropole), réseaux sociaux, applications déjà déployées (My Astuce, Montri). L’essor des audiences des réseaux sociaux de la Métropole et l’existence d’applications servicielles ont amené à fournir une solution performante, fédératrice et personnalisée.

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie et Abdelkrim Marchani, Vice-Président de la Métropole Rouen Normandie en charge de l’économie, de l’attractivité et du numérique : « Nous portons une grande ambition numérique. Cette application va permettre de renforcer le lien entre les citoyens et la Métropole. Qu’ils habitent dans une commune rurale ou dans une ville, que ce soit pour régler sa facture d’eau, signaler des dépôts sauvages via un accès direct à l’application Montri, connaître les horaires de bus, les agendas culturels et sportifs, l’info trafic… Cette application facilite le quotidien. C’est concret, simple, utile »

« Nous sommes heureux chez Orange que la Métropole de Rouen ait fait confiance aux savoir-faire des équipes d’Orange Business Services. Ma Métropole dans ma poche est la solution idéale de la part d’une collectivité tournée vers le numérique. L’appli mobile a été élaborée avec la Métropole de Rouen pour répondre aux besoins de ses administrés et des usagers. Elle gère en temps réel toutes les informations pertinentes et utiles. Elle est aussi évolutive  », explique Marc Maouche, Délégué Régional Orange Normandie.

La Métropole Rouen Normandie a souhaité regrouper l’ensemble de ses services sur une seule et même application. L’appli Rouen Métropole dans ma poche, téléchargeable sur tous les stores gratuitement, propose aujourd’hui les services suivants : mobilité, horaires de bus, agenda culturel et sportif, signalement des problématiques (voirie, éclairage public, dépôts sauvages), qualité de l’air, informations sur les bornes de vélos Cyclic, participation citoyenne, inscription à l’alerte SMS, info trafic, réseau Filo’r, des infos sur des balades et des randonnées, paiement de la facture d’eau, signalement d’une fuite, des offres d’emploi, Allo bus, les numéros utiles, le raccordement au réseau d’assainissement et au réseau d’eau, la distribution des sacs de collecte, les horaires de la déchetterie, les risques de cavités, la localisation des bornes de recharges électriques… soit un large éventail de services qui répondront aux attentes des habitants pour leur quotidien.

Nouveau plan de relance de l’activité locale à destination des commerçants et artisans, exonérations fiscales pour les créations et extensions d’entreprises en vue d’attirer des acteurs spécialisés dans des secteurs stratégiques de la transition écologique, structuration du projet Saint-Sever Nouvelle Gare, déploiement de cabines connectées, lancement d’un appel d’offres sans précédent pour l’acquisition de 80 bus articulés électriques et multiplication des aménagements pour le vélo... La Métropole entend dépasser la crise sanitaire en soutenant massivement les acteurs économiques tout en multipliant ses actions pour le climat et la justice sociale : nouveau Projet Alimentaire Territorial, adoption d’une stratégie santé ambitieuse, soutien massif au sport féminin, lutte contre les logements vacants, investissements pour l’enseignement supérieur et la recherche... La Métropole engage par ailleurs d’importants financements pour soutenir des projets d’aménagements locaux portés par les communes. Pour dépasser la crise sanitaire et bâtir un monde plus respirable, plus juste, jouons collectif !

Pour Nicolas MAYER-ROSSIGNOL, Président de la Métropole Rouen Normandie : « Pour soutenir les acteurs économiques face à la crise, nous avons engagé très tôt une série de mesures d’urgence. Nous déployons aujourd’hui un plan de relance social-écologique.

Nous décidons une exonération de la Cotisation Foncière des Entreprises pour les créations et extensions d’entreprises, ainsi que pour les Jeunes Entreprises Innovantes et les Jeunes Entreprises Universitaires qui investissent dans la recherche et le développement. L’objectif est d’attirer des acteurs spécialisés dans des secteurs stratégiques : santé, transition écologique, mobilités décarbonées, production d 'énergies renouvelables...

En parallèle la Métropole s’engage dans une véritable politique métropolitaine du commerce. Nous allons commercialiser des chèques cadeaux à destination des salariés des collectivités et entreprises locales, mobilisables sur le territoire. Un fonds « Collectif Commerce » va être activé, pour soutenir les actions collectives portées par les associations d’artisans-commerçants. La Métropole va également engager une vaste campagne de valorisation du « consommer local ».

Pour le climat et pour faciliter notre quotidien, nous agissons pour les mobilités de demain : multiplication et sécurisation des stationnements pour les vélos, appel d’offres sans précédent pour l’acquisition de 80 bus articulés électriques... Objectif 100 % de TEOR à faibles émissions en 2026 ! Nous renforçons la desserte en transports en commun et allons renouveler de moitié notre flotte de bus par des véhicules à faibles émissions d’ici la fin du mandat.

Nous agissons pour le climat, pour l’emploi, pour la justice sociale et le rayonnement de notre belle Métropole : structuration du projet Saint-Sever Nouvelle Gare, déploiement de cabines connectées pour lutter contre la fracture numérique, nouveau Projet Alimentaire Territorial, engagement d’une stratégie santé ambitieuse, soutien massif au sport féminin, lutte contre les logements vacants et investissements pour l’enseignement supérieur et la recherche... Et parce que nous faisons le pari que le rebond passera par le collectif, nous débloquons une série d’investissements majeurs pour cofinancer des projets portés par les communes. »

La Métropole Rouen Normandie souhaite décarboner massivement sa flotte de transports en commun et se donne pour objectif de dépasser 50% de bus à faibles émissions d’ici 2026. Pour les lignes TEOR, premières lignes de bus à haut niveau de service en France et en Europe, l’objectif est d’atteindre 100% de bus à faibles émissions d’ici 2026 ! C’est pourquoi la Métropole Rouen Normandie lance un appel d’offres sans précédent en vue d’acquérir 80 bus articulés électriques. 76 seront affectés aux lignes TEOR et 4 aux lignes des Transports de l’Agglomération Elbeuvienne (TAE).

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie et Cyrille Moreau, Vice-Président de la Métropole Rouen Normandie en charge des transports, des mobilités d’avenir et des modes actifs de déplacement : « Le monde change. Nous souhaitons que la Métropole Rouen Normandie soit à l’avant-garde de ce changement. Pour sauvegarder la planète, nos enfants devront émettre 6 à 8 fois moins de gaz à effet de serre que leurs grands-parents. C'est considérable. Et c'est urgent. Nous nous donnons pour objectif de renouveler à plus de 50% d’ici 2026 notre flotte de transports en commun pour la remplacer par des véhicules à faibles émissions. Quant aux TEOR, premières lignes de bus à haut niveau de service en France et en Europe, l’objectif est d’atteindre une flotte 100% faibles émissions d’ici 2026. Nous lançons aujourd’hui un appel d’offres sans précédentpour acquérir 80 bus articulés électriques, en vue d’accélérer la décarbonation. C’est ambitieux, mais nous n’avons plus de temps à perdre. »