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Les Semaines européennes du développement durable (SEDD), organisées du 18 septembre au 8 octobre 2022, visent à promouvoir la transition écologique à travers la valorisation d’actions locales et la sensibilisation du public au développement durable. Initié en France en 2003 et organisé à l’échelle européenne depuis 2015, l’évènement met en valeur les 17 objectifs de développement durable de l’Agenda 2030 mis en place par l’ONU. Les Semaines Européennes du Développement Durable intègrent la Semaine Européenne de la Mobilité Durable, qui se déroule du 16 au 22 septembre.

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie, Maire de Rouen et Cyrille Moreau, Vice-Président en charge des transports, des mobilités d’avenir et des modes actifs de déplacement : « Nous travaillons avec les habitants du territoire à créer, ensemble, le monde de demain. Celui dans lequel les générations futures pourront entrevoir un avenir. Cet avenir, nous lui donnons une chance en investissant toujours plus dans la social-écologie : pour rebattre les cartes tant sur le plan de la santé et de l’environnement que sur celui de la justice sociale. Demain, nous aspirons à un monde équitable, sain, et durable pour toutes et tous. »

Dès la rentrée, la Métropole Rouen Normandie consolide son offre de transports pour proposer des modes de déplacement performants et complémentaires, au service de l’attractivité du territoire et respectueux de l’environnement, de la santé et du pouvoir d’achat des habitants. Forte de son engagement à une conversion 100% énergies renouvelables à l’horizon 2050, la Métropole met en œuvre des politiques publiques ambitieuses pour favoriser une mobilité sobre et efficiente.

En ville, 40% des trajets quotidiens parcourus en voiture font moins de 3km , et ils sont deux fois plus polluants en milieu urbain qu’hors agglomération. 25 millions de personnes sont affectées par le bruit des transports, dont 9 millions à un seuil critique , et l’on dénombre 2600  décès par an, en Normandie, directement imputables à la pollution atmosphérique. La Métropole Rouen Normandie s’engage aujourd’hui, pour proposer des transports qui préserveront demain, à parts égales :

• La santé
• L’environnement
• Le pouvoir d’achat

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie et Cyrille Moreau, Vice-Président en charge des transports, des mobilités d’avenir et des modes actifs de déplacement : « La mobilité est un droit, et il est de notre devoir de donner à chacune et chacun la possibilité de se déplacer tout en contribuant à construire activement le monde de demain. Nous voulons proposer une mobilité à la fois respectueuse de la santé, de l’environnement, et du pouvoir d’achat, et qui ne fait pour autant aucune concession sur son efficacité. Le rapport aux déplacements évolue. Nos concitoyens attendent aujourd’hui un service complet, intermodal : des modes de déplacement qui s’adaptent à leurs problématiques et besoins, pas l’inverse. Les dérèglements que nous vivons sont pérennes : crise écologique, crise économique. La mobilité est le levier clef permettant d’agir à la fois sur le front du climat et de la justice sociale. »

Comme une pierre d’achoppement sur l’une des autoroutes de l’ouest de la France les plus empruntées, l’aire de Vironvay se fait la vitrine des paysages du territoire avec une toute nouvelle fresque murale interactive. Pendant leur pause sur la route des vacances, les voyageurs pourront profiter de quelques-uns des plus beaux panoramas de la vallée de Seine, fièrement exposés. Un QR code permet également aux curieux d’aller plus loin avec une carte interactive en ligne.

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie, Maire de Rouen, Bernard Leroy, Président de l’Agglo Seine-Eure, Maire du Vaudreuil, Laurence Renou, Vice-Présidente de la Métropole Rouen Normandie en charge de la Culture et Christine de Cintré, Conseillère métropolitaine de la Métropole Rouen Normandie déléguée en charge du tourisme et de Rouen Capitale Européenne de la Culture 2028, Présidente de Rouen Normandie Tourisme et Congrès : « Nos territoires sont reliés par la Seine, qui sculpte les paysages de nos villes et de nos campagnes. C’est cette unité que nous avons voulu mettre en avant par cette opération. A l’instar de la Loire qui se vit comme un voyage en soi, la Seine elle aussi peut se cheminer, se visiter. Nous invitons les touristes mais aussi les normands à redécouvrir les paysages du territoire au travers de cet axe fluvial, au cœur de notre candidature Rouen Capitale Européenne de la Culture 2028. »

Le Président de la Métropole Rouen Normandie a pris un arrêté définissant les communes concernées par la ZFE-m (Zone à Faibles Emissions – Mobilité). Visant à améliorer la qualité de l’air sur le territoire, la Zone à Faibles Emissions Mobilité sera effective 24h/24 et 7j/7 sur ces 13 communes. Mise en place le 3 janvier 2022 pour les véhicules utilitaires légers et les poids lourds, la ZFE-m sera étendue à tous les véhicules motorisés au 1er septembre 2022. Ceux-ci devront alors présenter une vignette Crit’Air 0, 1, 2 ou 3 pour se rendre sur le périmètre de la ZFE-m.

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie, Maire de Rouen, Cyrille Moreau, Vice-Président en charge des transports, des mobilités d’avenir et des modes actifs de déplacement et Marie Atinault, Vice-présidente en charge des transitions et innovations écologiques : « La loi impose la mise en place d’une ZFE-m sur notre territoire comme sur l’ensemble des grandes agglomérations de France. La crise écologique a déjà un impact considérable sur la qualité de vie et la santé de nos concitoyens. Il faut agir. Nous mettons donc en œuvre la loi de la République, mais en y ajoutant de nombreuses mesures locales d’accompagnement, d’exemption et de soutien aux plus vulnérables d’entre nous : aides à la conversion des véhicules pour près de 40M€, développement des transports en commun, baisse des tarifs des abonnements mensuels et gel des tarifs 2022/2023 malgré l’inflation, financement du covoiturage, accès au vélo et autres mobilités douces… Aucune autre agglomération de France ne met en place un régime d’aides d’une telle ampleur pour accompagner cette transition social-écologique. »

Depuis 2012, la Métropole Rouen Normandie anime un dispositif de soutien au développement des filières agricoles courtes et durables, favorisant entre-autres la préservation des ressources en eau. Ce dispositif se manifeste par l’organisation de deux appels à projets annuels. Les agriculteurs et éleveurs lauréats se voient attribuer des aides pour développer leurs projets, si ceux-ci correspondent aux critères établis par la Métropole. La seconde session de l’année 2022 débute ce lundi 1er août.

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie, Maire de Rouen, Marie Atinault, Vice-présidente en charge des transitions et innovations écologiques et Yves Soret, Conseiller Métropolitain délégué à l’alimentation et aux circuits courts de proximité : « Les surfaces agricoles représentent un tiers du territoire métropolitain, et notre région normande est historiquement marquée par la culture et l’élevage. Face aux enjeux climatiques et aux défis nourriciers qui nous attendent, il est plus que jamais nécessaire d’encourager les pratiques durables. »

Le 26 juillet, la Métropole Rouen Normandie et Enedis se sont réunis pour présenter le projet d’électrification du dépôt de bus des « 2 rivières ». Un chantier d’envergure pour raccorder au réseau de distribution électrique géré par Enedis cette station composée de plusieurs bornes de forte puissance destinées à recharger les bus électriques. Il s’agit d’une nouvelle étape dans le déploiement de la mobilité électrique pour la Métropole Rouen Normandie.

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie, Cyrille Moreau, Vice-Président en charge des transports, des mobilités d'avenir et des modes actifs de déplacement, Marie Atinault, Vice-Présidente en charge des transitions et innovations écologiques, Nicolas Amice, Conseiller Métropolitain délégué aux réseaux énergétiques et Jean-Olivier Martin, Directeur Régional d’Enedis en Normandie : « Ce raccordement au réseau est l’une des étapes symboliques de la transition environnementale du territoire. C’est la concrétisation d’années de travail vers des transports plus propres et plus performants. »

Aujourd’hui, nous sommes 69 maires de tous bords politiques à appeler l’État à prendre ses responsabilités. Les collectivités sont en première ligne face à la crise énergétique. Nous nous sommes engagés par nos mandats à protéger les habitants de nos communes, et nous continuerons de le faire avec volonté et conviction. Nous avons besoin de l’État à nos côtés pour mettre en œuvre nos politiques publiques : transition écologique et énergétique, pouvoir d’achat, accompagnement et protection de nos concitoyens… Dans ce contexte de crise, nous interpellons la première ministre Elizabeth Borne par ce courrier.

La société Ebusco prévoit d’implanter son siège social français et son unité de production et d’assemblage de bus électriques sur le territoire de la Métropole. L’entreprise a retenu le site de Renault Cléon pour réaliser les investissements nécessaires au développement de ce nouvel outil industriel du groupe.

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie, Maire de Rouen, Djoudé Merabet, Vice-Président en charge de l’urbanisme et du pôle de proximité Val-de-Seine, Cyrille Moreau, Vice-Président en charge des transports, des mobilités d’avenir et des modes actifs de déplacement, Abdelkrim Marchani, Vice-Président en charge de l’économie, l’attractivité, le numérique, l’Europe et l’international et Frédéric Marche, Maire de Cléon :
« Après le succès de la reprise récente de Chapelle Darblay à Grand-Couronne, permis par l’action déterminante de la Métropole, l’implantation du siège social d’Ebusco France et d’un de ses plus importants établissements de production constituent un nouveau signal positif pour le territoire et son attractivité, autour d’une vision stratégique claire : développer l’économie décarbonée, l’économie de demain. »

A partir du 13 juillet 2022, les pontons de la navette fluviale Calypso changent d’emplacement sur la rive droite et sur la rive gauche de Rouen. Ces modifications visent à accompagner le développement urbain de la rive gauche et à faciliter l’intermodalité en rive droite. Cette modification est également l’occasion d’acter la pérennisation de la ligne de transports en commun. Expérimentée depuis juillet 2019 et pérennisée en février 2022, la navette fluviale à énergie électro-solaire est désormais pleinement intégrée au Réseau Astuce.

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie et Cyrille Moreau, Vice-Président en charge des transports, des mobilités d’avenir et des modes actifs de déplacement : « L’installation des pontons définitifs acte la pérennisation de la navette fluviale Calypso. Ce mode de transport, respectueux de l’environnement et novateur, est une opportunité forte pour la Métropole et ses habitants. Nous avons fait le choix de déplacer les pontons pour nous adapter aux mutations de l’environnement urbain. L’arrivée du hangar 105 rive gauche, le développement de l’attractivité des quais de Seine et la proximité du TEOR dans le quartier Pasteur-Préfecture sont autant d’éléments que nous avons souhaité conjuguer avec cette nouvelle mobilité douce. »

Comme chaque été, les services de la Métropole Rouen Normandie profitent des vacances, et donc d’une fréquentation allégée des axes routiers et des centres-villes, pour réaliser des travaux. Ces chantiers visent à améliorer les déplacements et le cadre de vie des habitants du territoire, pour une enveloppe de 2,38 millions d’euros. Voirie, aménagement des carrefours en vue de la future ligne Fast 9, enfouissement des réseaux… Cette année, de nombreux chantiers concernent le pôle de proximité Val-de-Seine, composé de 15 communes pour 101 453 habitants.

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen et Président de la Métropole Rouen Normandie et Djoudé Merabet, Maire d’Elbeuf, 1er Vice-Président en charge de l’urbanisme et du pôle de proximité Val-de-Seine : « Porte d’entrée de notre territoire Métropolitain depuis l’A13 et Paris, le pôle de proximité Val-de-Seine est une zone à forte densité urbaine qui réunit de nombreuses entreprises et industries. Nous profitons de la période estivale pour réaliser des travaux qui amélioreront le quotidien des habitants, mais également de ceux qui viennent sur notre territoire pour travailler. Intermodalité, cadre de vie, décongestionnement du trafic… Cet été, ce sont d’importants chantiers qui se déroulent, pour transformer les villes d’ici à septembre. »

La 9e édition des Journées Hydrogène dans les territoires s’est tenue du 5 au 7 juillet à Rouen en Normandie. Avec plus de 800 inscrits, 550 participants sur site et 60 exposants, ces trois journées riches de rencontres et d'échanges ont relevé leur objectif : participer au déploiement de la filière hydrogène en facilitant l’appropriation par l’ensemble des publics de ce sujet de société naissant.

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie, Maire de Rouen : « Ces trois jours au service du développement de la filière hydrogène ont rencontré un franc succès. Cet événement marqué la reconnaissance de notre Métropole comme territoire pionnier et à la pointe sur les énergies de demain. La Métropole Rouen Normandie s’est engagée à atteindre la neutralité carbone d’ici à 2050, voire 2040, avec un effort massif en matière de mobilités en particulier. La décarbonation est l'enjeu stratégique, à la fois écologique et économique, de la vallée de Seine. Avec l'hydrogène, nous sommes aux avant-postes. »

La 8e édition de l’Armada se tiendra à Rouen du 8 au 19 juin 2023, évènement majeur pour lequel le territoire se prépare à accueillir des millions de visiteurs et des bateaux du monde entier. En 2019, des travaux réalisés sur des voies ferroviaires en Île de France empruntées par des trains normands avaient entraîné de nombreuses perturbations pour les voyageurs qui avaient incontestablement pénalisé le bon déroulé de l’Armada. Nicolas Mayer-Rossignol, Christine de Cintré, Cyrille Moreau et Pascal Le Cousin appellent les Présidents de la Région Normandie et de la SNCF à engager un travail commun pour éviter de reproduire les erreurs de 2019 et proposer des axes d’amélioration. 

Par courrier du 21 juin 2022, SNCF Réseau a annoncé à la Métropole Rouen Normandie ‘surseoir à certains travaux préalablement planifiés afin d’assurer une circulation entre Paris et Rouen sur l’ensemble de la période (Armada 2023). Seules les plages horaires de 11h à 23h des samedis 10 et 17 juin feront l’objet d’un allongement du trajet de 30 minutes pour les trains entre Paris et Rouen’. L’arrêt temporaire de ces travaux sur la période de l’Armada est une excellente nouvelle. Toutefois, il est regrettable que celui-ci ne concerne pas également les samedis 10 et 17 juin 2023, tant l’affluence sera forte sur ces journées. Par ailleurs, de nombreux axes d’amélioration des mobilités ferroviaires sont envisageables, notamment en termes de tarification, d’amplitude horaire et de cadencement.

Appel de Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie, Christine de Cintré, Conseillère métropolitaine déléguée en charge du tourisme et de Rouen Capitale Européenne de la Culture 2028, Présidente de Rouen Normandie Tourisme et Congrès et Cyrille Moreau, Vice-Président en charge des transports, des mobilités d’avenir et des modes actifs de déplacement et Pascal Le Cousin, Conseiller métropolitain délégué en charge du ferroviaire, adressé aux Présidents de la SCNF et de la Région Normandie :

« Messieurs les Présidents de la SNCF et de la Région Normandie,

Nous avons bien reçu le courrier de Monsieur Vincent Palix, Directeur territorial Normandie de SNCF Réseau, en date du 21 juin 2022.

Nous accueillerons du 8 au 19 juin 2023 la 8e édition de l’Armada, évènement majeur pour lequel nous nous préparons à accueillir des millions de visiteurs et des bateaux du monde entier. La précédente édition organisée en 2019 a rassemblé près de 4 millions de personnes. Cette fréquentation exceptionnelle témoigne de l’importance de ce grand rendez-vous pour le territoire.

En 2019, des travaux réalisés sur des voies ferroviaires en Île de France empruntées par des trains normands avaient entraîné de nombreuses perturbations pour les voyageurs qui avaient incontestablement pénalisé le bon déroulé de l’Armada. Les trains au départ de Rouen ne circulaient plus après 21h00, alors que les concerts et feux d’artifice n’étaient pas achevés. La durée moyenne des trajets pour faire les 120km entre Paris Saint-Lazare et Rouen était passée à plus de deux heures, avec parfois des trajets de 3h51mn ! 

Monsieur Vincent Palix indique dans son courrier du 21 juin qu’SNCF Réseau et la Région ont convenu ‘de surseoir à certains travaux préalablement planifiés afin d’assurer une circulation entre Paris et Rouen sur l’ensemble de la période (Armada 2023). Seules les plages horaires de 11h à 23h des samedis 10 et 17 juin feront l’objet d’un allongement du trajet de 30 minutes pour les trains entre Paris et Rouen’.

L’arrêt temporaire de ces travaux sur la période de l’Armada est une excellente nouvelle. Toutefois, il est regrettable que celui-ci ne concerne pas également les samedis 10 et 17 juin 2023, tant l’affluence sera forte sur ces journées.

Nous proposons d’engager un réel dialogue pour l’amélioration des mobilités ferroviaires à l’occasion de l’Armada 2023. Celui-ci pourrait être d’ailleurs l’occasion d’une réflexion commune pour renforcer les déplacements de voyageurs et le service ferroviaire. À l’heure où la Vallée de Seine Normande est engagée pour devenir Capitale européenne de la Culture en 2028, nous devons envoyer des signaux forts de modernité et d’attractivité.

Lors de l’Armada 2013, à l’initiative de la Région Haute-Normandie, une tarification spécifique à 5 € sur l’ensemble de la Région avait été proposée. Une initiative comparable pourrait être envisagée. Par ailleurs, il serait opportun que la fréquence des trains soit augmentée, ainsi que l’amplitude horaire, notamment en fin de soirée.

Nous sommes disponibles pour engager cette réflexion commune que nous estimons absolument nécessaire pour la pleine réussite de l’Armada 2023. »