Retrouvez dans cette page l'ensemble des dossiers de presse de la Métropole Rouen Normandie.
Perrine Binet
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Louis Petit
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La première phase de la rénovation de la rue Jeanne d’Arc va débuter mi-mars, entre la station Théâtre des Arts et la rue Jean Lecanuet. Outre les nécessaires aménagements de chaussée, la Métropole prévoit d’apaiser la circulation. Ainsi les mobilités douces auront la part belle grâce à des marquages d’animation au niveau des carrefours et la reprise de la bande cyclable. Des végétaux et du mobilier urbain seront également implantés afin d’apaiser et de renaturer cette artère majeure du cœur de ville.
Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie, Nicolas Zuili, Adjoint au maire de Rouen en charge du secteur Rive droite et Jean-Michel Bérégovoy, Adjoint au maire de Rouen en charge notamment de la Ville résiliente, de l’environnement et de la transition énergétique : « La rue Jeanne d’Arc, artère principale du centre-ville de Rouen, mérite une rénovation ! Les travaux vont débuter pour la rendre plus sécurisée, plus adaptée à l’ensemble des mobilités douces, tout en laissant un bel espace à la renaturation et aux espaces de détente. Le but est de pouvoir, à terme, multiplier les événements qui la font vivre, en la piétonnisant à l’occasion de journées comme la Fête du Ventre ou encore la Rue aux enfants ! »
La Métropole Rouen Normandie renforce son objectif de valoriser les projets collectifs en faveur de l’environnement et de la qualité de vie avec une nouvelle implantation de composteurs sur son territoire, ici dans le Square Verdrel de Rouen à la demande et à destination des habitants du quartier. Un composteur collectif permet de réduire et de valoriser en moyenne 100 kg de déchets de cuisine (épluchures…) par foyer et par an. L’installation de ces composteurs est une réussite au niveau de la Métropole avec des dizaines de projets déjà mis en place que ce soit à, Bois-Guillaume, Canteleu, Mont-Saint-Aignan, Elbeuf ou encore à Saint-Etienne-du-Rouvray.
Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie et Marie Atinault, Vice-Présidente de la Métropole en charge des transitions et des innovations écologiques : « La Métropole Rouen Normandie permet à chaque citoyen de créer un espace collectif de partage et de convivialité autour de composteurs dans chaque quartier de notre territoire dans un but d’éducation à l’environnement. Que vous soyez un particulier, une association ou un bailleur, nous vous accompagnerons dans votre démarche et vous permettrons de vous engager en faveur de l’environnement et de la qualité de vie ! »
La Métropole a créé un service public de la transition énergétique intitulé « Énergie Métropole Rouen Normandie » afin de poursuivre au mieux les objectifs ambitieux fixés en terme d’énergies renouvelables et de transition écologique sur le territoire. Afin de dynamiser l’implication des partenaires et d’afficher son souhait de les voir pleinement acteurs à ses côtés, la Métropole les a réunis pour une première Assemblée mardi 1er février.
Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie et Marie Atinault, Vice-Présidente en charge des transitions et innovations écologiques : « Afin que notre territoire soit 100% énergies renouvelables en 2050 comme nous nous y sommes engagés, la Métropole Rouen Normandie met en place un service public nouveau et unique en France de par son son ampleur : « Énergies Métropole Rouen Normandie ». Cet objectif ambitieux ne pourra être atteint que si l’ensemble des acteurs du territoire, publics et privés, se mobilisent, se structurent et coconstruisent les filières professionnelles qui permettront aux nombreux projets déjà en germe d’aboutir. Le succès de la première assemblée, avec plus de 80 partenaires présents, est un marqueur fort de l’implication et de la mobilisation de tout un territoire au service de la transition sociale-écologique. La transition écologique est également un vecteur d’attractivité et de rayonnement. Avec le Havre et Paris, nous déployons un outil inédit : ‘Axe Seine Énergies Renouvelables’, pour unir nos forces et investir ensemble dans la transition énergétique de nos territoires. Nous l’avons dit, nous le faisons : la transition écologique de notre territoire est notre priorité, il y a urgence et nous sommes au rendez-vous. »
La Métropole adopte ce lundi 31 janvier une série de mesures fortes : 15M d’€ d’investissements d’urgence et de moyen/long terme pour la santé, nouveau Plan de prévention du bruit dans l’environnement, élaboration d’un Plan d’adaptation au changement climatique, ‘gratuité’ totale des transports en commun en cas de franchissement du premier seuil d’alerte pollution, candidature au programme ‘100 villes climatiquement neutres et intelligentes d’ici 2030’ de l’Union Européenne, renforcement des aides à la reconversion des véhicules dans le cadre de la ZFE-m et création d’une aide pour les particuliers… La Métropole confirme par ailleurs son engagement pour l’attractivité et le cadre de vie, avec le déploiement à venir de Cœur de Métropole 2, la définition d’une nouvelle ‘entente’ à l’échelle de l’Axe Seine avec Paris, Rouen et le Havre, ainsi que la constitution d’un nouvel outil commun au service de la transition énergétique : ‘Axe Seine Énergies Renouvelables’. L’association Campus Santé Rouen et la Métropole formalisent un partenariat pour l’enseignement supérieur et la santé et des investissements conséquents sont engagés pour financer des projets portés par des communes du territoire. Dans l’urgence et l’anticipation d’un avenir incertain, la Métropole Rouen Normandie fait bloc.
Pour Nicolas MAYER-ROSSIGNOL, Président de la Métropole Rouen Normandie : « Sur le front de la Santé, l’épuisement est bien présent chez nos personnels soignants et non soignants. Ils demandent, et les patients avec eux, depuis des années plus de moyens. Certes la santé est une politique nationale, et non une responsabilité des collectivités locales. Mais face à l’urgence et aux défaillances de l’Etat, nous devons agir. La Métropole va engager des financements inédits et très importants (environ 15 millions d’€ sur 5 ans) pour permettre le déploiement de projets d’urgence et de moyen/long terme sur des projets essentiels et à destination d’établissements où la situation, notamment d’harassement des professionnels, n’est plus tenable. Nous adoptons par ailleurs un Plan de prévention du bruit dans l’environnement pour renforcer notre action contre les nuisances sonores. C’est un sujet absolument essentiel de santé publique.
Selon une information relayée par le Figaro le 19 janvier se basant sur les projections du GIEC, parmi les 20 villes françaises -de plus de 25 000 habitants- menacées par la montée des eaux, 4 sont situées sur le territoire de la Métropole Rouen Normandie : Sotteville-lès-Rouen (4ème), Le Grand-Quevilly (7ème), Rouen (8ème) et Saint-Étienne-du-Rouvray (18ème), avec respectivement 57,6 %, 40,5%, 40,2% et 22,5% de surfaces submersibles à l’horizon 2100. On ne peut plus faire l’autruche.
Nous allons bâtir un Plan d’adaptation au changement climatique et rendre les transports en commun ‘gratuits’, dès le franchissement du premier seuil d’alerte en cas de pollution de l’air. Nous allons être candidats au programme Européen «100 villes climatiquement neutres et intelligentes d’ici 2030 » pour inscrire notre ambition en matière de transition écologique dans une dimension internationale. Pour cela, l’Union Européenne est un partenaire essentiel. La transition écologique doit être une transition sociale : pour accompagner le déploiement progressif de la ZFE-m sur le territoire, nous renforçons nos aides à la reconversion de véhicules polluants et débloquons une nouvelle aide pour les particuliers.
La transition écologique est également un vecteur d’attractivité et de rayonnement. Nous engageons une nouvelle ‘entente’ avec Paris et le Havre pour accélérer la relance de l’Axe Seine, que nous avons initiée. Nous déployons un outil inédit : ‘Axe Seine Énergies Renouvelables’, pour unir nos forces et investir ensemble dans la transition énergétique de nos territoires.
On se bat, on ne lâche rien »
La démarche avait été annoncée le 6 décembre dernier lors de la dernière Assemblée Générale de l’association Rouen Normandie 2028, qui avait réuni l’ensemble des collectivités et partenaires du projet. A l’issue de la phase de préfiguration, en fin d’année 2020, un cap important avait été franchi avec la définition d’un territoire de candidature large, autour de Rouen et de sa Métropole, le long de la vallée de Seine normande, de Giverny jusqu’au Havre et Honfleur. Depuis, les collectivités concernées ont exprimé leur volonté profonde de travailler ensemble, avec les habitants, les artistes, les entreprises, les associations et tous les acteurs culturels pour métamorphoser le territoire grâce au levier que constitue le label « Capitale européenne de la culture ». Autour du « port d’attache » de la candidature que représente Rouen, les collectivités qui bordent la Seine sont encouragées à embarquer dans le processus de candidature via les « quais d’embarquement » qui symboliseront et représenteront la Capitale tout le long de la Seine.
Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie et Christine de Cintré, Vice-Président en charge de Capitale Européenne de la Culture 2028 et Présidente de Rouen Normandie Tourisme : « Nous souhaitons renforcer la cohésion des territoires de l’axe-seine autour de la candidature, c’est pourquoi nous nous rendrons dans chacun des territoires concernés, dès aujourd’hui et jusqu’en mars, pour rencontrer les acteurs et responsables politiques, afin d’encourager la contribution de chaque territoire à la construction de ce projet collectif. »La Métropole Rouen Normandie va équiper les trémies situées rive droite à Rouen de barrières automatiques et de vidéo surveillance afin de pouvoir maîtriser leurs ouvertures/fermetures à distance pour plus de fluidité et de sécurité en cas d’incident. Supervisé par le (PCRT) Poste Central de Régulation du Trafic de la métropole, ce dispositif permettra d’optimiser leur exploitation et de limiter leurs fermetures. Les travaux d’installation se dérouleront durant le mois de février et occasionneront des fermetures des trémies en journée et de nuit afin de limiter au maximum la gêne occasionnée sur la circulation.
Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie : « La mise en place de cette solution technique va permettre de fluidifier les éventuelles fermetures de trémies qui peuvent, comme on le sait, paralyser rapidement le cœur de ville. Dirigeables à distance du PCRT, les ouvertures/fermetures pourront ainsi intervenir plus vite afin de s’adapter au mieux à l’incident et de pouvoir rendre la voie au plus vite une fois celui-ci résolu. C’est une vraie avancée en terme de sécurité et de circulation pour la ville et l’ensemble du territoire. »
La Métropole réalise actuellement des travaux d’aménagements cyclables route de Darnétal à Bois-Guillaume. Ce chantier vise à offrir des aménagements sécurisés et plus agréables pour les usagers du vélo sur cette portion afin de garantir une continuité cyclable. Le chantier, prévu jusqu’en avril 2022, va occasionnellement créer des impacts en terme de circulation.
Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie et Cyrille Moreau, Vice-Président de la Métropole en charge des transports, des mobilités d’avenir et des modes actifs de déplacement : « Ces nouveaux aménagements cyclables route de Darnétal à Bois-Guillaume ont pour objectif de sécuriser le déplacement des cyclistes empruntant ce parcours identifié dans le plan vélo métropolitain comme itinéraire structurant. Nous nous sommes engagés à améliorer, sur l’ensemble du territoire, la sécurité et la continuité cyclable, nous nous y attelons ! Nous remercions les habitants du secteur pour leur compréhension face à d’éventuelles gênes occasionnées par ce chantier qui représentera, à terme et d’ici fin avril donc, une véritable plus-value pour les usagers du vélo sur notre territoire. »
Les travaux, menés actuellement par la Métropole route de Darnétal à Bois-Guillaume consistent à convertir les bandes cyclables existantes en pistes cyclables séparées de la chaussée entre la rue Herbeuse et le rond-point de la Lombardie et à insérer une piste cyclable bidirectionnelle entre le rond-point de la Lombardie et la rue de la Prévotière. Ces nouveaux aménagements permettront de combler une discontinuité cyclable entre la rue Herbeuse et la rue de la Prévotière.
Cet aménagement cyclable est le premier aménagement de « niveau 1 » à concrétiser la délibération votée en décembre 2021 sur le Plan Vélo Métropolitain. Il viendra ainsi s’ajouter aux 40 km d’aménagement de niveau 1 existants sur le Réseau Express Vélo. La Métropole va ainsi créer un réseau cyclable structurant et hiérarchisé sur le modèle du réseau de transports collectifs, qui permettra de lever l’un des principaux freins à la pratique du vélo qu’est la sécurité des déplacements. A l’horizon 2026, 165 km de pistes cyclables seront créés pour atteindre un réseau total structurant d’un peu plus de 200 km avec un potentiel à terme de 300 km.
Les travaux ont débuté et se poursuivront jusqu’en avril 2022. Ils nécessiteront la mise en place de déviations pour certaines phases. Les enrobés seront réalisés de nuit afin de limiter au maximum la gêne pour les habitants du secteur.
Les automobilistes et les habitants du secteur seront informés des gênes occasionnées via l’application Trafic Métropole Rouen, des informations sur les Panneaux à Messages Variables de la Direction des Routes Nord-Ouest (DIRNO) ainsi que des avis de travaux placés au niveau des accès riverains jouxtant le chantier.
Ce chantier bénéficie du soutien financier du Département de la Seine Maritime et de la Région Normandie.
La Métropole a signé ce jour une nouvelle convention avec le Fonds pour l’Insertion des Personnes Handicapées dans la Fonction publique (FIPHFP), acteur essentiel de la politique handicap dans la Fonction publique. Cette convention permet à la Métropole d’être accompagnée et soutenue financièrement dans la mise en place de ses actions à destination des personnes en situation de handicap au sein de sa structure.
Pour Nicolas MAYER-ROSSIGNOL, Nicolas ROULY, Vice-Président en charge des Finances, des Ressources et de l’Administration générale et Myriam MULOT, Vice-Présidente en charge de la lutte contre les discriminations, de l’égalité femmes-hommes et du handicap : « Favoriser le maintien dans l’emploi et encourager le recrutement d’agents en situation de handicap fait partie des missions essentielles et nécessaires de la Métropole, au nom de la lutte contre les discriminations et de l’insertion professionnelle. Nous sommes accompagnés et soutenus depuis 2011 par le FIPHFP et les résultats sont là. En 2021, 16 agents en situation de handicap ont été recrutés et 224 aménagements de postes ont été réalisés entre 2018 et 2021. C’est pourquoi nous renouvelons cette convention jusqu’en 2024, pour maintenir et poursuivre le travail engagé. »Pour Marc DESJARDINS, directeur du FIPHFP : « Nous avons rencontré de nombreux employeurs publics de la France entière à l’occasion des conventions signées en 2021. Chaque signature est une réussite pour le FIPHFP tant elle est synonyme de mise en place d’une politique durable en matière d’insertion et de maintien dans l’emploi des agents en situation de handicap. »
Témoignage d’Annick DAMERVAL, instructrice urbanisme à la Métropole Rouen Normandie : « Je suis atteinte de surdité et de problèmes au niveau du bassin. Grâce à la reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé (RQTH), j’ai pu bénéficier d’une prise en charge employeur pour l'achat d'un appareil auditif. Cette reconnaissance a aussi permis d'appuyer l'obtention d'une place de stationnement pour alléger mes déplacements. Avec le concours des collègues et des services de santé de la Métropole, je me sens bien intégrée dans mon environnement professionnel et accompagnée. »
La commune rurale de Roncherolles-sur-le-Vivier, située à 10 km de Rouen, s’est vu remettre, ce matin, au Ministère de la transition écologique, le Label 4 des Éco-Quartiers, plus haut niveau de cette reconnaissance environnementale, pour son Éco-Quartier des Arondes. Ce label vient couronner des années de travail et d’investissements de la commune. La Métropole Rouen Normandie a toujours soutenu ce projet ambitieux, dès sa genèse, lors des études préliminaires pour l'extension du Centre-Bourg en 2003 ainsi que pour l'inscription au plan d'aménagement foncier en 2004 et encore cette année, à l’occasion de visites organisées dans le cadre de Rouen Capitale du Monde d’après.
Pour Sylvaine Santo, Maire de Roncherolles-sur-le-Vivier et Vice-Présidente de la Métropole Rouen Normandie en charge des petites communes et de la ruralité : « « L’éco-Quartier confirmé », c’est l’étape d’évaluation par les habitants et les usagers, par ceux qui en assurent la gestion de celui-ci également, c’est de quelle façon les gens appréhendent le quartier, les points positifs, ce qu’on pourrait améliorer… Nous attendions sereinement le verdict de la commission car les retours des habitants du quartier et du reste de Roncherolles sont très positifs, l’aménagement est cité en exemple et est régulièrement visité par des délégations d’élus, de techniciens… Et surtout, le nouveau quartier a transfiguré et redynamisé le centre-bourg. »
Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie : « Quelle fierté pour notre territoire ! Un écoquartier dans une de nos communes, atteignant le plus haut niveau de labélisation, c’est la preuve que c’est l’ensemble du territoire qui est investi dans la transition social-écologique et que nous pouvons compter sur des locomotives, pionnières et exemplaires en matière de développement durable ! »
La 13ème édition du concours Créactifs, organisée par la Métropole Rouen Normandie, témoigne une nouvelle fois de l’envie et du talent des jeunes habitants du territoire ! 6 lauréats ont décroché un financement allant de 5 000 à 10 500€ selon l’ampleur de leur projet. Ces projets audacieux et innovants attestent encore une fois de l’émulation de la jeunesse métropolitaine et de leur détermination quant aux enjeux de transition social-écologique.
Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen-Normandie et Mélanie Boulanger, Vice-Présidente en charge de la jeunesse, de la vie étudiante, de l’enseignement supérieur et de la recherche et membre du jury : « Les jeunes du territoire ont répondu présents, cette année encore, pour la 13ème édition du concours Créactifs ! Chaque année le niveau d’excellence des projets est impressionnant, toujours aussi riche, créatif et sérieux. Ce concours est devenu un moteur incontournable pour le développement des projets à impact proposés par les jeunes. Nous sommes impatients de voir leurs concrétisations sur le territoire métropolitain ! »
La Métropole Rouen Normandie lutte contre les inégalités et renforce l’attractivité de son territoire en créant un Fonds d’aide aux communes pour l’équipement de cabines connectées à hauteur de 1 500 000 euros. Le formulaire à destination des communes est disponible dès maintenant sur le site de la Métropole. Ce processus vise à rendre le numérique accessible à chaque individu et à accompagner les publics dans leurs démarches administratives dématérialisée avec nombre d’acteurs publics ou parapublic : impôts, CAF… Cette problématique de fracture numérique concerne potentiellement l’ensemble des communes de la Métropole Rouen Normandie, d’où l’importance d’apporter une réponse à la hauteur de l’enjeu.
Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie, Abdelkrim Marchani, Vice-Président de la Métropole Rouen Normandie en charge de l’économie, l’attractivité, le numérique, l’Europe et l’international : « La Métropole Rouen Normandie fait de l’inclusion numérique un axe majeur pour l’attractivité de son territoire ! La création d’un Fonds d’aide aux communes pour l’équipement de cabines connectées constitue un réel enjeu de la réussite de la transition numérique et sociale. Faisons de l’e-inclusion, un levier de l’insertion sociale et économique ! »
La Métropole Rouen Normandie lutte contre les inégalités et renforce l’attractivité de son territoire en créant un Fonds d’aide aux communes pour l’équipement de cabines connectées à hauteur de 1 500 000 euros. Le formulaire à destination des communes est disponible dès maintenant sur le site de la Métropole. Ce processus vise à rendre le numérique accessible à chaque individu et à accompagner les publics dans leurs démarches administratives dématérialisée avec nombre d’acteurs publics ou parapublic : impôts, CAF… Cette problématique de fracture numérique concerne potentiellement l’ensemble des communes de la Métropole Rouen Normandie, d’où l’importance d’apporter une réponse à la hauteur de l’enjeu.
Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie, Abdelkrim Marchani, Vice-Président de la Métropole Rouen Normandie en charge de l’économie, l’attractivité, le numérique, l’Europe et l’international : « La Métropole Rouen Normandie fait de l’inclusion numérique un axe majeur pour l’attractivité de son territoire ! La création d’un Fonds d’aide aux communes pour l’équipement de cabines connectées constitue un réel enjeu de la réussite de la transition numérique et sociale. Faisons de l’e-inclusion, un levier de l’insertion sociale et économique ! »