Presse

Dans un courrier adressé ce mardi 26 septembre 2023, quatre ans après l’accident industriel qui a marqué Rouen et les rouennais.es, Nicolas Mayer-Rossignol et Charlotte Goujon appellent la première ministre Elizabeth Borne à tenir les engagements pris en 2019. Renforcement des effectifs alloués au contrôle des ICPE, contrôle des sites Seveso par l’Inspection des Installations Classées, communication sur le dispositif FR-Alert, équipement du SDIS76… Des moyens à la hauteur des risques et des enjeux sont nécessaires. 
 

Le Plan de Mobilité (PDM) définit les principes d’organisation de la mobilité, des personnes comme des marchandises, sur le territoire de la Métropole et en lien avec les collectivités limitrophes. Construit en concertation avec les citoyens et les acteurs de la mobilité, le projet de Plan de Mobilité de la Métropole Rouen Normandie prévoit budget mobilités de plus de 4,1 milliards d’euros, tous modes confondus, d’ici à 2035. Il vise à rééquilibrer les modes de transport au sein de la Métropole, prévoyant une hausse de 50% de l’utilisation des transports en commun, la multiplication par 5 de la part modale dédiée au vélo, une hausse de 30% de la marche et une baisse de 25% de l’utilisation de la voiture.

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie, Cyrille Moreau, Vice-Président en charge des transports, des mobilités d’avenir et des modes actifs de déplacement, Juliette Biville, Conseillère Métropolitaine déléguée aux modes actifs de déplacement, Pascal Le Cousin, Conseiller Métropolitain Délégué au ferroviaire et Astrid Lamotte, Conseillère Métropolitaine déléguée à Filo’R : « Les mobilités sont un levier essentiel à l’avènement du monde de demain, qui devra être plus juste, plus décarboné, et plus respectueux de la santé et de l’environnement. Nous faisons de ce sujet notre priorité ! Il s’agit désormais d’embarquer avec nous tous les acteurs de la mobilité, des opérateurs aux collectivités limitrophes, en passant bien entendu par l’Etat, qui doit plus que jamais soutenir nos ambitions. »
 

La Métropole Rouen Normandie engage ce lundi 25 septembre une série de mesures fortes. L’aventure Capitale européenne de la Culture 2028 est bien engagée. La Métropole annonce le doublement de son budget Culture en cas de victoire, et s’oriente vers la création d’un Centre de Congrès dédié au rayonnement à l’hospitalité du territoire. Le label « Ville et Pays d’art et d’histoire » est renouvelé pour 10 ans, tout en s’ancrant dans la candidature Rouen Seine Normande 2028. La Métropole, récemment nommée Capitale Française de la Biodiversité 2023, souhaite par ailleurs rejoindre le Conservatoire Botanique de Normandie. 20 000 euros sont déployés pour le Maroc et la Libye (10 000€ + 10 000€) via le dispositif de solidarité internationale. Un soutien massif est engagé pour la création d’un département d’odontologie à Rouen, pour lutter contre la pénurie de dentistes. 1,2M d’€ sont engagés pour la rénovation et la réhabilitation énergétique d’environ 400 logements sociaux et le dispositif d’aide à l’acquisition de kits solaires pour les particuliers est renforcé. Les ambitions métropolitaines pour le quartier Saint-Sever et sa Nouvelle-Gare sont réaffirmés et la solidarité intercommunale est activée, via des financements de projets structurants pour les communes, à hauteur de 750 000 euros.

Pour Nicolas MAYER-ROSSIGNOL, Président de la Métropole Rouen Normandie : « Un espoir porte actuellement le territoire entier : devenir Capitale européenne de la Culture en 2028. Nous sommes en finale aux côtés de Bourges, Clermont-Ferrand et Montpellier. Le jury désignera la ville lauréate en décembre. Nous avons nos chances ! Si nous l’emportons, le budget Culture de la Métropole sera doublé, ou multiplié a minima par 1,5 selon le scénario. Nous sommes déterminés. D’autres mesures fortes sont engagées : l’implantation d’un nouveau Centre de Congrès, notamment pour faciliter l’accueil des multiples événements sur le territoire, et contribuer à leur donner une dimension nationale et internationale, ainsi que le renouvellement du label « Ville et Pays d’art et d’histoire » pour 10 ans.

Nous venons d’être désignés Capitale Française de la Biodiversité 2023 ! Ce titre récompense des années de travail. Il y a encore beaucoup à faire pour la biodiversité. Nous actons à ce conseil notre souhait d’intégrer le Conservatoire Botanique de Normandie.  Face aux drames qui touchent le Maroc et la Libye, nous déployons 10 000 euros pour venir en aide d’urgence à chacun des pays. La métropole manque par ailleurs de dentistes. Nous faisons le choix d’une politique inédite en débloquant 6 M’€ : financement de l’enseignement en fonctionnement, de nouveaux locaux, et de matériel… C’est inédit, et c’est nécessaire !

Nous soutenons enfin la réhabilitation thermique d’environ 400 logements sociaux à hauteur d’1,2 M d’€, renforçons le régime d’aide à l’acquisition de kits solaires pour les particuliers et réaffirmons nos ambitions pour le quartier Saint-Sever. Des investissements conséquents sont également décidés pour soutenir les communes dans les projets structurants qu’elles portent.

Nous maintenons le cap de la transition social-écologique, avec une vision forte, et cohérente. Après Capitale Française de la Biodiversité… Rouen Seine Normande 2028, Capitale européenne de la Culture ?

On se bat, on ne lâche rien. » 

Les Semaines européennes du développement durable (SEDD), organisées du 18 septembre au 8 octobre 2023, se déploient en France et dans tous les pays européens. A cette occasion, la Métropole Rouen Normandie et les communes du territoire se mobilisent et proposent aux habitants des temps d’animations et de découverte de pratiques permettant de devenir acteur de sa propre transition au quotidien. Chaque année, la Métropole Rouen Normandie lance des appels à projets aux communes pour l’organisation d’événementiels, permettant ainsi de leur apporter un soutien à la fois financier et logistique. Avec un budget de 16 409 euros alloué à la prise en charge d’animations dans le cadre de Mon P’tit Atelier au sein des communes, la Semaine Européenne du Développement Durable est une bonne occasion de mettre en avant toutes les actions portées au quotidien directement sur le terrain.

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie et Charlotte Goujon, Vice-Présidente en charge de la transition écologique, la santé et la sécurité industrielle et sanitaire : « La Semaine Européenne du Développement Durable débute et la Métropole Rouen Normandie s’inscrit dans cette démarche avec un programme dédié. Fidèles à notre engagement pour un accès facilité aux bonnes pratiques environnementales, nous mettons en place un panel d’activités permettant aux habitants d’agir, à leur échelle et dans leur quotidien, pour faire du monde de demain un monde plus sain, plus enviable, un monde que l’on peut transmettre aux générations futures. »
 

Le Pôle de Proximité Val-de-Seine est l’un des cinq pôles de proximité qui regroupent les 71 communes de la Métropole Rouen Normandie. Il est composé des communes de Grand-Quevilly, Petit-Couronne, Grand-Couronne, Moulineaux, La Bouille, La Londe, Orival, Cléon, Tourville-la-Rivière, Sotteville-sous-le-Val, Freneuse, Saint-Aubin-lès-Elbeuf, Caudebec-lès-Elbeuf, Saint-Pierre-lès-Elbeuf et Elbeuf. En cette rentrée 2023, la Métropole Rouen Normandie propose un large panel de projets qui verront le jour sur le pôle de Proximité Val-de-Seine. Qu’il s’agisse de mobilités douces et de tourisme, avec la création d’une halte la Seine à Vélo, de voirie et d’espaces publics avec les nombreux projets à venir ou encore de renaturation, qui est désormais systématiquement intégrée aux requalifications du territoire… la collectivité travaille aux côtés des communes pour améliorer le cadre de vie des habitants au quotidien.

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie et Djoudé Merabet, Maire d’Elbeuf, Vice-Président de la Métropole en charge du Pôle de Proximité Val-de-Seine : « Avec déjà 10 millions d’euros de projets financés sur le Pôle de Proximité Val-de-Seine depuis la création de la Métropole en 2015, il apparaît évident que la coopération entre les communes et l’EPCI est plus que jamais nécessaire pour proposer aux habitants un cadre de vie amélioré. Face à ce constat, nous avons décidé d’allouer une nouvelle enveloppe de 10 millions d’euros pour la période 2022-2026 ! Renaturation, mobilités… Les projets sont nombreux avec toujours un objectif : celui de concilier confort, efficacité et respect du climat. » 
 

Une rentrée de septembre 2023 sous le thème des mobilités douces, et particulièrement du vélo pour la Métropole Rouen Normandie ! La collectivité a en effet lancé son service de vélos en libre-service Lovélo en juillet. Celui-ci s’étend dès la mi-septembre aux communes de Sotteville-lès-Rouen et Petit-Quevilly pour en faire profiter un maximum d’habitants et de visiteurs qui pourront emprunter les nouvelles pistes cyclables, et notamment celles du boulevard de l’Europe à Rouen. Cette rentrée scolaire est également l’occasion de mettre en place de nombreuses améliorations du réseau de transports, notamment une nouvelle continuité de service toute la journée pour les traversées de la navette fluviale électrique Calypso ou encore la mise en service du prolongement de la ligne T4 le 4 septembre dernier.

Cette rentrée permet également de dresser un bilan d’étape sur nos engagements en matière de protection de la santé et de l’environnement, à travers nos investissements pour un parc de transports en commun plus propres et moins polluants. La collectivité progresse dans l’achat de véhicules à faibles émissions qui représenteront, en 2025, 50 % de la totalité des bus du réseau dont 100% du réseau TEOR.  

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie et Cyrille Moreau, Vice-Président en charge des transports, des mobilités d’avenir et des modes actifs de déplacement : « Nous continuons le travail que nous menons sans relâche depuis le début du mandat : proposer à chaque habitant la solution de mobilité qui lui convient le mieux, sans aucune concession sur le pouvoir d’achat, la santé ou le climat. Covoiturage, vélo, bus, métro… Quelle que soit leur situation personnelle, tous les usagers doivent pouvoir bénéficier de transports efficaces et abordables. Et cela répond non seulement à l’enjeu de la crise climatique… mais aussi à la crise tout court ! »

A l’approche des jeux Olympiques de Paris 2024, et après une saison 2022-2023 haute en émotions et surtout en victoires des équipes, la Métropole Rouen Normandie et le Kindarena présentent la saison 2023-2024. Ambitions des équipes féminines et masculines, évènements sportifs, e-sport… La nouvelle année de l’équipement sportif et de ses 5 équipes d’intérêt métropolitain débute de plus belle ! De beaux projets sont également à l’étude, notamment l’accueil de délégations étrangères dans le cadre de la préparation aux Jeux Olympiques de Paris 2024.

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie, David Lamiray, Vice-Président en charge des sports et Patrick Callais, Conseiller Métropolitain délégué au sport handicap : « Cette année plus que jamais, le sport est un vecteur d’attractivité et de rayonnement essentiel à notre Métropole. A l’aube des Jeux Olympiques de Paris 2024, nous sommes fiers des équipes d’intérêt Métropolitain pour lesquelles nous affichons clairement notre soutien. Ces équipes, ainsi que tous les évènements que le Kindarena accueille, nous aident à accomplir notre objectif : celui de rendre le sport accessible à toutes et tous, des terrains aux tribunes! »
 

Pour la 12ème édition du concours Capitale Française de la Biodiversité, la Métropole Rouen Normandie rafle pour la première fois la première place et remporte le titre pour l’année 2023. Le concours, organisé par l’Office Français de la Biodiversité, Plante & Cité et les Agences régionales et collectifs régionaux pour la Biodiversité est soutenu par le ministère de la Transition écologique et de la cohésion des territoires. Il vise à identifier, valoriser et diffuser les meilleures actions en faveur de la biodiversité. Notre collectivité s’est particulièrement démarquée par ses actions de préservation et de restauration du patrimoine forestier, bocager et arboré.

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie, Charlotte Goujon, Vice-Présidente en charge de la transition écologique, la santé et la sécurité industrielle et sanitaire et Hugo Langlois, Conseiller Métropolitain délégué aux enjeux liés à la Seine, les forêts, la biodiversité : « Quelle fierté ! Des années de travail sont ainsi récompensées ! Avec 30% du territoire qui est boisé (dont 60% de forêts publiques), nous sommes l’une des collectivités les plus arborées de France. Nous veillons au quotidien à valoriser ce patrimoine et à le préserver pour les générations futures. Nous avons par exemple inclus le patrimoine naturel à notre candidature comme Capitale Européenne de la Culture en 2028, pour sanctuariser encore davantage la biodiversité comme une richesse à protéger, à chérir, à mieux connaître et transmettre. »
 

Dès le 14 septembre prochain, les journées du Matrimoine seront à l’honneur et les Journées Européennes du Patrimoine fêteront leurs 40 ans les 16 et 17 septembre ! A l’approche des Jeux Olympiques de Paris 2024, ces deux jours dédiés à la culture seront placés sous la thématique du sport. Allier sport et culture, une belle occasion pour présenter la pluralité de nos héritages culturels. Des lieux insolites au patrimoine naturel, en passant par l’histoire des clubs sportifs ou la présence de la mémoire des femmes dans l’espace public… Plus que jamais, les 71 communes de la Métropole Rouen Normandie déborderont d’animations, permettant à toutes et tous de se retrouver autour du matrimoine, du patrimoine et du sport pour des moments conviviaux et riches en émotions. 

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie,  Laurence Renou, Vice-Présidente en charge de la Culture, Myriam Mulot, Vice-Présidente en charge de la lutte contre les discriminations, de l’égalité femmes-hommes et du handicap et Christine de Cintré, Conseillère Métropolitaine Déléguée au tourisme et à Rouen Capitale Européenne de la Culture 2028, Laura Slimani, Adjointe au Maire en charge de l’égalité femmes-hommes, Marie-Andrée Malleville, Adjointe au Maire à la culture et au patrimoine et matrimoine et Elizabeth Labaye, Conseillère Municipale déléguée au patrimoine et au matrimoine : « Depuis 2015, la Métropole Rouen Normandie s’engage avec l’association HF Normandie à remettre à l’honneur le matrimoine aux côtés du patrimoine. Lutter pour l’égalité entre les femmes et les hommes, travailler à réduire les injustices quelles qu’elles soient, c’est un combat qui passe aussi par la culture. C’est tout le sens de la candidature de Rouen comme Capitale Européenne de la Culture : faire que notre ville et la Seine Normande soient un lieu d’épanouissement, de découverte et d’accomplissement pour toutes et tous, y compris pour les générations futures. »

Pour Rozenn Bartra, Présidente d’honneur HF Normandie : « Nous dédions cette édition aux femmes qui, par-delà nos frontières, en Ukraine, en Iran et dans le monde entier, luttent contre les oppressions qu'elles rencontrent ; à elles et à toutes celles et ceux qui se battent pour un monde plus juste, plus démocratique et plus pacifique. »

La Métropole Rouen Normandie affirme une forte volonté d’égalité de traitement entre tous les habitants en revoyant dès cette rentrée de septembre la tarification à destination des personnes à mobilité réduite. Dans un contexte d’inflation, et pour toujours œuvrer à un accès égalitaire à des transports en commun efficaces et abordables pour toutes et tous, la collectivité propose désormais une tarification moins chère et plus simple. Cette mesure permet de passer d’un système horo-kilométrique très onéreux sur les taxis et minibus du service Handistuce, portant l’aller simple à 3,20€ en moyenne pour un court trajet, à une tarification uniforme à 1,80€ par voyage (voire moins en cas d’abonnement annuel), et ce quelle que soit la distance parcourue. Les personnes à mobilité réduite voyageront désormais au même tarif que les autres usagers, sans surcoût et avec des transports adaptés à leurs besoins.

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie, Myriam Mulot, Vice-Présidente en charge du handicap et de la lutte contre les discriminations et Cyrille Moreau, Vice-Président en charge des transports, des mobilités d’avenir et des modes actifs de déplacement : « Les transports en commun sont un vecteur d’égalité sans pareille. Ils permettent d’accéder à un mode de déplacement efficace et abordable, coûtant à un voyageur plus de dix fois moins cher à l’année que de voyager en voiture. Il nous semblait primordial que cet avantage bénéficie à tous les habitants y compris ceux en situation de handicap. Pour une transition social-écologique qui fonctionne, nous ne devons oublier personne dans l’équation. »

Après une grande concertation, la Métropole Rouen Normandie, avec les communes de Rouen, Sotteville-lès-Rouen et Petit-Quevilly, vient de lancer le réaménagement des avenues des Canadiens et des Martyrs-de-la-Résistance, incluant la place devant le Jardin des plantes. Ce projet d’ampleur va permettre d’offrir aux habitants et aux usagers un cadre de vie plus apaisé, plus végétal, plus qualitatif, favorisant les modes doux et les promenades en famille. 

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie, Maire de Rouen, Cyrille Moreau, Vice-président en charge des transports, des mobilités d’avenir et des modes actifs de déplacement, Sylvie Nicq-Croizat, Vice-Présidente en charge de la démocratie participative et de la coconstruction citoyenne, Charlotte Goujon, Maire de Petit-Quevilly et Luce Pane, Maire de Sotteville-lès-Rouen : « Cet axe majeur et structurant méritait d’être redessiné afin d’offrir aux familles, aux usagers, aux habitants, un cadre de vie apaisé, sécurisé et qualitatif. Trottoirs élargis, piste cyclable bidirectionnelle, renaturation, limitation à 30 km/h, arrêts de transports en commun améliorés et sécurisés : ce projet, fruit d’une grande concertation avec l’ensemble des acteurs, répondra aux besoins de chacun tout en valorisant l’aspect patrimonial et historique du secteur. » 
 

La Métropole Rouen Normandie, la Ville de Rouen et le Rouen Hockey Elite travaillent de concert pour améliorer la circulation et le stationnement sur l’île Lacroix. Depuis le 22 août dernier, la Ville met en place un dispositif de filtrage permettant de restreindre l’accès à l’Île aux seuls détenteurs d’une vignette de résidence, une fois les parkings pleins. Afin d’accompagner au mieux les spectateurs dans leurs déplacements en amont et en aval des matchs, la Métropole Rouen Normandie propose un service de navette fluviale entre le quai du Pré aux Loups et l’Île, avec des rotations fréquentes et régulières. Ce service a rencontré un public très nombreux, c’est un grand succès. Ce jeudi 31 août, la collectivité expérimentera un outil complémentaire : ce soir-là deux bus articulés assureront en fin de match (en fin de match seulement) une liaison directe avec le Quai du Pré aux Loups. Cette expérimentation permettra de voir si l’ajout de bus permet de désengorger plus rapidement encore l’île Lacroix.

Pour Nicolas Mayer-Rossignol, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie, Cyrille Moreau, Vice-Président en charge des transports, des mobilités d’avenir et des modes actifs de déplacement, Kader Chekhemani, Adjoint au Maire en charge du stationnement et de la tranquillité publique, Frédéric Marchand, Adjoint au maire en charge de la rive gauche et de l’Île Lacroix et Sarah Vauzelle, Adjointe au maire en charge du Sport : « Afin que les soirs de matchs restent avant tout une fête, tant pour les spectateurs que pour les habitants, nous travaillons en concertation avec tous les acteurs pour mettre en place des solutions à la fois économiques, écologiques et efficaces. La navette fluviale est plébiscitée, désormais elle est énormément utilisée, tant mieux ! Nous testons donc en plus un dispositif expérimental, en bus. Nous pourrons ainsi voir si cela fonctionne, ou pas. Avec toujours le même objectif : faciliter l’accès au sport et au divertissement à toutes et tous, sans compromettre la tranquillité des habitants. »